Abd Al Malik - Jérusalem paroles de (lyrics)
[Abd Al Malik - Jérusalem paroles de lyrics]
Je priais pour toute l'Humanité soudain
Réalisant que l'existence prend son ses
Quand on est un ainsi je priais avec la
Force où tout s'origine
Puisque l'amour de tout est à l'origine
Je priais soudain pour mon ennemi
Réalisant que derrière le masque
Se cache l'Ami
A mi-chemin de la prière en pleurs
Puisque l'amour fait disparaître les peurs
Soudain je priais comme un rabbin
Réalisant que tout adieu toujours revient
Revenant à moi le Coran comme
Le livre de David
Puisque l'amour éteint ce qui divise
Je comme un apôtre du Christ soudain priais
Réalisant que si chacun sa pierre porte
La porte restait fermée à la grâce
Puisque chacun en ce monde à sa place
Je croyais en l'homme soudain comme celui
Qui ne prie pas Dieu
Réalisant que tous les êtres
Sont finalement pieux
Peu étant la mesure de ceux
Qui croient réellement en eux
Puisque la comédie de ce monde
Se joue sur leurs yeux
Je priais interpellant soudain les vivants
Qui sont des morts
Réalisant que certaine personnes
Mortes vivaient encore
Ont tort ceux qui ne peuvent entendre tout ça
Puisque le souvenir est de
Cette vérité l'éclat
Je me prosternai moi le musulman
Pour l'Humanité jusqu'à la fin
Ayant réalisé que l'existence
Prenait tout son sens quand on était un
Ainsi je prie avec force là ou tout s'origine
Puisque l'amour de tout est à l'origine
Réalisant que l'existence prend son ses
Quand on est un ainsi je priais avec la
Force où tout s'origine
Puisque l'amour de tout est à l'origine
Je priais soudain pour mon ennemi
Réalisant que derrière le masque
Se cache l'Ami
A mi-chemin de la prière en pleurs
Puisque l'amour fait disparaître les peurs
Soudain je priais comme un rabbin
Réalisant que tout adieu toujours revient
Revenant à moi le Coran comme
Le livre de David
Puisque l'amour éteint ce qui divise
Je comme un apôtre du Christ soudain priais
Réalisant que si chacun sa pierre porte
La porte restait fermée à la grâce
Puisque chacun en ce monde à sa place
Je croyais en l'homme soudain comme celui
Qui ne prie pas Dieu
Réalisant que tous les êtres
Sont finalement pieux
Peu étant la mesure de ceux
Qui croient réellement en eux
Puisque la comédie de ce monde
Se joue sur leurs yeux
Je priais interpellant soudain les vivants
Qui sont des morts
Réalisant que certaine personnes
Mortes vivaient encore
Ont tort ceux qui ne peuvent entendre tout ça
Puisque le souvenir est de
Cette vérité l'éclat
Je me prosternai moi le musulman
Pour l'Humanité jusqu'à la fin
Ayant réalisé que l'existence
Prenait tout son sens quand on était un
Ainsi je prie avec force là ou tout s'origine
Puisque l'amour de tout est à l'origine