Aline - Avenue des armées paroles de (lyrics)
[Aline - Avenue des armées paroles de lyrics]
Un monde est mort et toi, tu pleures
Tu vas souffrir, j'en ai peur
L'histoire se termine en hiver
Tu n'y crois pas, mais il est l'heure
De se frôler en douceur
La fête est finie, j'en ai peur
Souviens-toi de ce soleil pâle
Du ciel couleur de corail sans regrets
De toutes ces belles fumées sales
De l'Avenue des Armées
Ne me regarde pas, tes yeux
De petite fille amoureuse
M’empêcheraient de m'en aller
Souris-moi (souris-moi) et comprends ma peine
Je t'aime toujours un peu quand même
Mais je ne peux plus t'embrasser
Souviens-toi de ce matin calme
De cette nuit sans sommeil
De ces nuit's blanches et de l'éther
Qui coulaient dans nos veines
Souviens-toi de ces lumières pâles
Du bruit du train sur les rails
Souris-moi (souris-moi)
Ne me regarde pas, je pleure
Souris-moi (souris-moi)
Ne me regarde pas, je pleure
Il n'en finit plus de mourir
Ce vilain Monde à l'agonie
Je boirai à ses funérailles
Je n'y crois plus, mais il est l'heure
Alors, je prends de la hauteur
Je fonce à travers les murailles
Je me souviens de ce soleil pâle
De ces lumières de corail des regrets
Je me souviens de ces fumées sales
Disparues à tout jamais
Tu vas souffrir, j'en ai peur
L'histoire se termine en hiver
Tu n'y crois pas, mais il est l'heure
De se frôler en douceur
La fête est finie, j'en ai peur
Souviens-toi de ce soleil pâle
Du ciel couleur de corail sans regrets
De toutes ces belles fumées sales
De l'Avenue des Armées
Ne me regarde pas, tes yeux
De petite fille amoureuse
M’empêcheraient de m'en aller
Souris-moi (souris-moi) et comprends ma peine
Je t'aime toujours un peu quand même
Mais je ne peux plus t'embrasser
Souviens-toi de ce matin calme
De cette nuit sans sommeil
De ces nuit's blanches et de l'éther
Qui coulaient dans nos veines
Souviens-toi de ces lumières pâles
Du bruit du train sur les rails
Souris-moi (souris-moi)
Ne me regarde pas, je pleure
Souris-moi (souris-moi)
Ne me regarde pas, je pleure
Il n'en finit plus de mourir
Ce vilain Monde à l'agonie
Je boirai à ses funérailles
Je n'y crois plus, mais il est l'heure
Alors, je prends de la hauteur
Je fonce à travers les murailles
Je me souviens de ce soleil pâle
De ces lumières de corail des regrets
Je me souviens de ces fumées sales
Disparues à tout jamais