Alpha 5.20 - Amertumes et Souffrances paroles de (lyrics)
[Alpha 5.20 - Amertumes et Souffrances paroles de lyrics]
Chaque jour que Dieu fait
C'est amertume et souffrance
De plus la France veut me niquer mes chances
Dans le hall à bicrave peu importe la saison
J'garde encore espoir mais y'a
Rien à l'horizon
Chaque jour que Dieu fait
C'est amertume et souffrance
De plus la France veut me niquer mes chances
Dans le hall à bicrave peu importe la saison
J'garde encore espoir mais y'a
Rien à l'horizon
Est plutôt élevé à l'air libre renoi
Démographie galopante comme le peuple chinois
Défonce les portes de l'Espagne
C'est Dieu qui nous envoie
Mange avec des pygmées dans les rues du 93
La cité m'a avalé
J'ai fait un trou dans son ventre
Sorti d'un cercueil, réincarné en prophète
Ma poésie reflète ce que mon peuple endure
Et ma plume est trempée sur
Le sang des martyrs
Je te dis qu'en France rien
Ne change depuis le temps
Maurice Papon est mort mais le Pen est vivant
Trop facile de nous haïr
On est des boucs émissaires
La haine on vocifère
La droite jamais ne nous tolère
Même avec des diplômes
On a le profil douteux
J'irai jamais pointer devant leur ANPE
Frère le sang des sacrifices coule
En bas de la Seine
Bicarbonate dans leurs veines
Ils peuvent pas sentir ma peine
Chaque jour que Dieu fait
C'est amertume et souffrance
De plus la France veut me niquer mes chances
Dans le hall à bicrave peu importe la saison
J'garde encore espoir mais y'a
Rien à l'horizon
C'est amertume et souffrance
De plus la France veut me niquer mes chances
Dans le hall à bicrave peu importe la saison
J'garde encore espoir mais y'a
Rien à l'horizon
Chaque jour que Dieu fait
C'est amertume et souffrance
De plus la France veut me niquer mes chances
Dans le hall à bicrave peu importe la saison
J'garde encore espoir mais y'a
Rien à l'horizon
Est plutôt élevé à l'air libre renoi
Démographie galopante comme le peuple chinois
Défonce les portes de l'Espagne
C'est Dieu qui nous envoie
Mange avec des pygmées dans les rues du 93
La cité m'a avalé
J'ai fait un trou dans son ventre
Sorti d'un cercueil, réincarné en prophète
Ma poésie reflète ce que mon peuple endure
Et ma plume est trempée sur
Le sang des martyrs
Je te dis qu'en France rien
Ne change depuis le temps
Maurice Papon est mort mais le Pen est vivant
Trop facile de nous haïr
On est des boucs émissaires
La haine on vocifère
La droite jamais ne nous tolère
Même avec des diplômes
On a le profil douteux
J'irai jamais pointer devant leur ANPE
Frère le sang des sacrifices coule
En bas de la Seine
Bicarbonate dans leurs veines
Ils peuvent pas sentir ma peine
Chaque jour que Dieu fait
C'est amertume et souffrance
De plus la France veut me niquer mes chances
Dans le hall à bicrave peu importe la saison
J'garde encore espoir mais y'a
Rien à l'horizon