B.B. Jacques - Boom Boom paroles de (lyrics)
[B.B. Jacques - Boom Boom paroles de lyrics]
Un, deux et fuck off
C’est même pas fini mais ça commence
C’est pas le Jacques c’est une romance
Fuck off on réédite on vous baise wallah
Une nuit d’été pendant laquelle j’me cherche
J’dois prendre un peu de l’argent
D’NBOW pour partir seul
Avec moi j’ai pris quelques
Prods et quelques ‘teilles
J’réecris Poésie d’une pulsion dans
Une chambre d’hôtel
LNSC a fait plusieurs otages
NBOW Records sur plusieurs étages
J’travaille sur divers projets
J’ai r'fusé d'mettre ma belle
Gueule sur plusieurs pochettes
Mais qu’est ce qui m’reste si ce n’est
Une plume et deux ou trois principes
On va pas reparler business
J’crois que tout le monde a capté
Que c’est moi qui injecte
J’ai du talent depuis que j’le travaille
Le charisme, on en parle pas, on le dégage
Fuck off
(Si t’aimes pas c’est simple gros tu dégages)
La solitude c’est quand tu peux
Bouffer ce que tu veux
Mais que personne peut t’aider
Si t’avales de travers
À défaut des sentiments
Les balles t’traversent
J’hésite à m’abriter, le temps de l’averse
Parfois j’me trouve naïf
Dès demain j’ressers la vis
Et fuck la poésie en fait
J’suis comme tout le monde
J’ai juste envie de lâcher
Des "baise ta mère"
Et au fait je m'appelle Jacques parce que
C'était déjà pris "Nique Ta Mère"
J’crois que t’en veux aux autres hein
Y’a des tombes sur lesquelles j’irais
Verser du black Bird Sky
Et j’revois le film de tout ce que
J’ai fait sur un coup d’tête
Il me reste 10 pages à écrire et peu d’tabac
Je t’ai vu t’approcher avec
Un semblant d’empathie
Fuck off la qualité a un coût donc j’en pâtis
De moins en moins de liberté comme en 14
Cet été j’dois hiberner pour
En ressortir quatorze des cernes depuis 2014
J’ai pas eu besoin du peu ra
Pour me faire des frappes
Et depuis trois volumes
Trois paires de baffes j'lève la tête
J’prends sur moi pour pas regarder
Sa paire de fesses
Merde et pourquoi je te parle de ça?
Méfie toi de la bouteille quand
Elle te rend si saoul
On l’a fait avec trois francs, six sous
Et un nom d’scène francisé
Le temps qu’il reconstruise Beyrouth
J’irais jusqu’en Sicile (ou pas)
Les yeux dans le vide
Les yeux vers loin d’ici
T’inquiète c’est pas grave
On a le droit d’être indécis
Mais c’est ta faute enfoiré
Si t’es un imbécile
(Et toi t'es un grand trou d'balle hein)
Et je me demande déjà si ça vaut le
Coup encore que je me casse la tête
J’ai fais des dégâts à des gows et des gars
Y a plus grand monde à té-cô
J’ai déco’ le phone-tel
On s’retrouve à De Pijp
On part vers l’Vondel on part vers l'Vondel
On s’trouve vers De Pijp
On part vers l’Vondel
LNSC c’est que la première brique
Il m’reste plusieurs étapes
Elle est bonne la première prise
Pour déstresser j’en refais quatre
En vrai mais qu’ai-je à leur envier?
Le seul mérite que j’ai
C’est celui d’être parti
Sans être sûr de revenir entier
Et faut pas croire le trou
D’balle qui avant mon
Peu-cli va t’apprendre en six
Étapes comment devenir rentier
Mais c’est comme ça on est tous les mêmes
Fuck off mon premier mérite c’est celui
D’être pas comme eux
Mon second d’être peu commun
Et mon dernier d’être peu connu
C’est même pas fini mais ça commence
C’est pas le Jacques c’est une romance
Fuck off on réédite on vous baise wallah
Une nuit d’été pendant laquelle j’me cherche
J’dois prendre un peu de l’argent
D’NBOW pour partir seul
Avec moi j’ai pris quelques
Prods et quelques ‘teilles
J’réecris Poésie d’une pulsion dans
Une chambre d’hôtel
LNSC a fait plusieurs otages
NBOW Records sur plusieurs étages
J’travaille sur divers projets
J’ai r'fusé d'mettre ma belle
Gueule sur plusieurs pochettes
Mais qu’est ce qui m’reste si ce n’est
Une plume et deux ou trois principes
On va pas reparler business
J’crois que tout le monde a capté
Que c’est moi qui injecte
J’ai du talent depuis que j’le travaille
Le charisme, on en parle pas, on le dégage
Fuck off
(Si t’aimes pas c’est simple gros tu dégages)
La solitude c’est quand tu peux
Bouffer ce que tu veux
Mais que personne peut t’aider
Si t’avales de travers
À défaut des sentiments
Les balles t’traversent
J’hésite à m’abriter, le temps de l’averse
Parfois j’me trouve naïf
Dès demain j’ressers la vis
Et fuck la poésie en fait
J’suis comme tout le monde
J’ai juste envie de lâcher
Des "baise ta mère"
Et au fait je m'appelle Jacques parce que
C'était déjà pris "Nique Ta Mère"
J’crois que t’en veux aux autres hein
Y’a des tombes sur lesquelles j’irais
Verser du black Bird Sky
Et j’revois le film de tout ce que
J’ai fait sur un coup d’tête
Il me reste 10 pages à écrire et peu d’tabac
Je t’ai vu t’approcher avec
Un semblant d’empathie
Fuck off la qualité a un coût donc j’en pâtis
De moins en moins de liberté comme en 14
Cet été j’dois hiberner pour
En ressortir quatorze des cernes depuis 2014
J’ai pas eu besoin du peu ra
Pour me faire des frappes
Et depuis trois volumes
Trois paires de baffes j'lève la tête
J’prends sur moi pour pas regarder
Sa paire de fesses
Merde et pourquoi je te parle de ça?
Méfie toi de la bouteille quand
Elle te rend si saoul
On l’a fait avec trois francs, six sous
Et un nom d’scène francisé
Le temps qu’il reconstruise Beyrouth
J’irais jusqu’en Sicile (ou pas)
Les yeux dans le vide
Les yeux vers loin d’ici
T’inquiète c’est pas grave
On a le droit d’être indécis
Mais c’est ta faute enfoiré
Si t’es un imbécile
(Et toi t'es un grand trou d'balle hein)
Et je me demande déjà si ça vaut le
Coup encore que je me casse la tête
J’ai fais des dégâts à des gows et des gars
Y a plus grand monde à té-cô
J’ai déco’ le phone-tel
On s’retrouve à De Pijp
On part vers l’Vondel on part vers l'Vondel
On s’trouve vers De Pijp
On part vers l’Vondel
LNSC c’est que la première brique
Il m’reste plusieurs étapes
Elle est bonne la première prise
Pour déstresser j’en refais quatre
En vrai mais qu’ai-je à leur envier?
Le seul mérite que j’ai
C’est celui d’être parti
Sans être sûr de revenir entier
Et faut pas croire le trou
D’balle qui avant mon
Peu-cli va t’apprendre en six
Étapes comment devenir rentier
Mais c’est comme ça on est tous les mêmes
Fuck off mon premier mérite c’est celui
D’être pas comme eux
Mon second d’être peu commun
Et mon dernier d’être peu connu