Bekar - Coloris paroles de (lyrics)
Alexandre Becquart
[Bekar - Coloris paroles de lyrics]
Quand est-ce qu'on pense à soi-même?
Quand l'intérieur est fade
Qu'il manque de coloris j'regarde derrière
J'y vois rien d'sensationnel
En route vers rien, véhicule non homologué
Hey, toujours trop d'questions existentielles
Sous alcool, couleurs se distortionnent
J'ai pas envie d'tout devoir forcer
Écoute personne, écris ton histoire seul
T'as l'impression d'tout faire pour quelqu'un
D'être là dans n'importe quel cas mais
Qu'ça va pas dans ton sens (nan, nan)
Tu t'sens unique comme Peter Parker
Ta vie, c'est des tentatives ratées
C'est des hit's markers
Fuck cette life, putain d'étrange jeunesse
Tard la night
J'ai l'sang chaud comme un homme de l'est
Roubaisien, moi, j'voulais voir Los Angeles
Très peu d'larmes mais j'compte même plus
Les litres de sang qu'je laisse
(je laisse, je laisse, je laisse, je laisse)
Et mon froc, jamais j'le baisse (nan)
J'me suffit d'peu
Mais j'veux mailler quand même
P'tit, j'voulais des Nike comme ceux qui
Trainent dans les allées de Hem
Nan, j'oublie pas celle qui m'a
Épaulé quand j'ai quitté l'foyer
L'amour d'une vie ou les années de haine
(les années de haine, mmh, mmh)
On pense aux autres
Quand est-ce qu'on pense à soi-même?
Quand l'intérieur est fade
Qu'il manque de coloris j'regarde derrière
J'y vois rien d'sensationnel
En route vers rien, véhicule non homologué
Hey, toujours trop d'questions existentielles
Sous alcool, couleurs se distortionnent
J'ai pas envie d'tout devoir forcer
Écoute personne, écris ton histoire seul
Toujours trop d'questions existentielles
Sous alcool, couleurs se distortionnent
J'ai pas envie d'tout devoir forcer
Écoute personne, écris ton histoire seul
Petit, ce monde m'a mangé, maintenant
J'ai des haut-d'cœur la nuit
J'fais des rêves de baisé où
J'suis l'danger comme Walter
Les miens me disent discret
J'sors de moins en moins
J'écris et j'me sens d'mieux en mieux quand
Y a un disque qui s'créé
Quand j'travaille trop, j'suis irritable
Ça m'apaise plus quand j'tire une taffe
La drogue, c'est mort, c'est noir sa mère
Y a rien d'plus véritable
On voulait vivre de l'art, ouais (de l'art)
Les accidents, ça court les rues ici
Les bords de route deviennent
Des ruisseaux de larmes
C'est bête à dire mais parfois
Juste suffit d'y croire
J'sais pas s'il vaut mieux être face à
Un mur ou face au miroir
J'ai servi dans des banquets
Coupes de champagnes aux banquiers
J'sortais des clips, parfois
J'écris comme si cette vie me manquait
(cette vie me manquait, cette
Vie me manquait, cette vie me manquait)
On pense aux autres
Quand est-ce qu'on pense à soi-même?
Quand l'intérieur est fade
Qu'il manque de coloris j'regarde derrière
J'y vois rien d'sensationnel
En route vers rien, véhicule non homologué
Hey, toujours trop d'questions existentielles
Sous alcool, couleurs se distortionnent
J'ai pas envie d'tout devoir forcer
Écoute personne, écris ton histoire seul
Toujours trop d'questions existentielles
Sous alcool, couleurs se distortionnent
J'ai pas envie d'tout devoir forcer
Écoute personne, écris ton histoire seul
Coloris, j'ai b'soin d'coloris
Coloris, j'ai b'soin d'coloris
Coloris, j'ai b'soin d'coloris
Coloris, j'ai b'soin d'coloris