BEN plg - La symphonie de l'arrêt de bus paroles de (lyrics)
[BEN plg - La symphonie de l'arrêt de bus paroles de lyrics]
Déshumanise, j’me d’mande: "Maintenant
J’vais décevoir qui?"
Fumée marron qui sort de la vitre
(Ah ouais) , moi
J’voudrais la suivre et m’enfuir (Allez)
J’ai toujours deux-trois phrases dans la tête
(yeah) qui tournent en boucle
Au-dessus du reste
J’me sens trop à l’étroit dans la pièce
(Euro) , là
J’ai rien compris mais j’acquiesce
(J'm'en branle)
Moi, j’avais des rêves à la base, là
J’ai rencontré tous les blases
Que j’gravais sur CD-R avec un marqueur
Bah tu sais quoi? La moitié, ils sont bidons
Askip, vaut mieux pas vivre ses rêves
La suite est souvent trop sévère
Maman dit: "L’mieux c’est l’ennemi du bien"
Tu connais un 2 mieux qu’le 1
Toi?
À part dans The Lord of the Rings, et Frodon
Il finit fou et triste
Même Walter White, il pète
Une pile, et Anakin, il étrangle sa gadji
Depuis qu’j’ai vraiment eu la dalle
J’crois qu’j’ai vraiment pété un câble
Ils r’gardaient mal sur l’terrain vague
Ils m’verront que d’très loin d’puis la scène
C’est fini l’époque où j’acquiesçais bêtement
En baissant la tête
J’ai perdu trop d’temps, trop d’potes
Trop proches en baissant la tête
J’té-cla une camel en baissant la vitre
Ça fait du bien d’baisser la
Garde de temps en temps
Viens, on parle vrai, on fait pas semblant
Eux, ils sont bizarres
Nous, on sourit aux inconnus
Toujours le regard vers la Lune
J’ai fouillé son visage
J’ai trouvé d’l’amour dans ses prunelles
Derrière la peur dans ses yeux
Ils regardent en bizarre
Ils regardent en che-lou, on a
Eu qu’une moitié d’chance, on l’a chée-tou
Y en a pas d’deuxième
C'est pas comme Afflelou
Ma vie sur la guitare
Une histoire une mélo' d’plus
On fait chanter leurs vieux rictus
La symphonie d’l’arrêt d’bus
C’est parti, on s’arrête plus jamais
J’fais d’la musique, j’me sauve la vie
J’réécris tout, j’me brutalise
On s’regarde dans les yeux, on s’brûle à vif
Y a écrit "tout baiser" dans l'ciel donc
On s’est dit qu’on allait l’faire
J’me suis inventé des ailes et
J’raconte partout qu’on peut voler
J’suis en détente
J’suis comme Bergkamp contre Newcastle
J’suis dans l’rectangle, j’regarde devant
J’veux qu’la foule m’accueille
J’frappe très fort, j’vise les dents
J’mets tout mon seum
J’roule une fusée, j’vise la Lune
J’mets tout mon seum
Eux, ils sont bizarres
Nous, on sourit aux inconnus
Toujours le regard vers la Lune
J’ai fouillé son visage
J’ai trouvé d’l’amour dans ses prunelles
Derrière la peur dans ses yeux
Bizarre