Bernard Lavilliers - Voyages paroles de (lyrics)
[Bernard Lavilliers - Voyages paroles de lyrics]
Voyages il y a ceux que l'on fait
Et ceux qu'on imagine voyages
Ratés ou merveilleux et toujours anonymes
Toujours toujours plus loin on va
On va vers l'origine toujours
Vers le danger d'ailleurs enfin on l'imagine
Partir partir quand le soleil se lève
Courir aussi vite qu'on rêve
Sentir que la vie se retire encore
Savoir que leurs vies se ressemblent
Comme des banlieues rouilléеs
Voyage le cœur abandonné
Sous cettе pluie d'exil voyages
Ces visages inconnus sous l'asphalte divine
Regarde ces millions d'êtres humains
Qui se croisent et s'ignorent regarde
Vers quel destin fragile
Vers quelle toison d'or
Partir partir quand le soleil se lève
Courir aussi vite qu'on rêve
Sentir que la vie se retire encore
Savoir que leurs vies se ressemblent
Comme des banlieues rouillées regarde
Dans le ciel découpé
Ces pans de murs noircis regarde
Ces milliards de fenêtres
Inquiètes sur la nuit
Partir partir quand le soleil se lève
Courir aussi vite qu'on rêve
Sentir que la vie se retire encore
Savoir que leurs vies se ressemblent
Partir partir quand le soleil se lève
Courir aussi vite qu'on rêve
Sentir que la vie se retire encore
Savoir que leurs vies se ressemblent
Comme des banlieues rouillées
Et ceux qu'on imagine voyages
Ratés ou merveilleux et toujours anonymes
Toujours toujours plus loin on va
On va vers l'origine toujours
Vers le danger d'ailleurs enfin on l'imagine
Partir partir quand le soleil se lève
Courir aussi vite qu'on rêve
Sentir que la vie se retire encore
Savoir que leurs vies se ressemblent
Comme des banlieues rouilléеs
Voyage le cœur abandonné
Sous cettе pluie d'exil voyages
Ces visages inconnus sous l'asphalte divine
Regarde ces millions d'êtres humains
Qui se croisent et s'ignorent regarde
Vers quel destin fragile
Vers quelle toison d'or
Partir partir quand le soleil se lève
Courir aussi vite qu'on rêve
Sentir que la vie se retire encore
Savoir que leurs vies se ressemblent
Comme des banlieues rouillées regarde
Dans le ciel découpé
Ces pans de murs noircis regarde
Ces milliards de fenêtres
Inquiètes sur la nuit
Partir partir quand le soleil se lève
Courir aussi vite qu'on rêve
Sentir que la vie se retire encore
Savoir que leurs vies se ressemblent
Partir partir quand le soleil se lève
Courir aussi vite qu'on rêve
Sentir que la vie se retire encore
Savoir que leurs vies se ressemblent
Comme des banlieues rouillées