Chaman , Sully - Encore un matin paroles de (lyrics)
[Chaman , Sully - Encore un matin paroles de lyrics]
Encore une journée, sur ma planète
À moi de jouer les mélodies de ma tête
Je vais, je viens, palot comme l’hiver
Je vais, je viens
L'insomnie souffle sur mes yeux
Injecté de sang rouge et bleu
Si je tire tu bouges et on court ensemble
1, 2, 3 soleil dans des couloirs sombre
Essaye de voir à travers
Les nuages habillent le ciel
Ne fais plus semblant de croire
Ce que l’on t’a dit de croire
Il est mort hier qui donc, l’espoir
Plus d’énergie plus de touches au piano
Les couleurs s’éternisent
Les maladies fleurissent
Comme au printemps, j’attends
Les beaux jours, les jours rougis de peur
Car tu sais le temps ne t’appartient pas
Poésie surréaliste retourne à l’univers
Mettre à jour ma liste
De ce qu’il me reste à faire
Encore un matin où les flammes
Dansent dans le salon
Encore un matin où les armes
Chantent sur le balcon
Encore un matin où les flammes
Dansent dans le salon
Encore un matin où les armes
Chantent sur le balcon
Les armes brulent les mains des lâches
Tes larmes pour l’eau de nos pâtes
Prendre soin de moi j’en
Ai toujours pas l’âge 23 ans, 32 tatouages
La drogue me rend tout pâle
Les bleus ravivent mes bras
Tombés dans le grave les yeux noir corbeau
Gueule d’ange brisée
Persiste à s’en briser les os
Faire l’amour fait tourner le monde
Encore une journée à tenter ma chance
Courir les jupons des anges
L’argent a toujours fait tomber des bombes
Ma langue court le long de tes hanches
Il y a toujours un peu
De cœur chez les monstres
Encore une journée à tenter ma chance
Avant de perdre patience
Encore un matin où les flammes
Dansent dans le salon
Encore un matin où les armes
Chantent sur le balcon
Encore un matin où les flammes
Dansent dans le salon
Encore un matin où les armes
Chantent sur le balcon
À moi de jouer les mélodies de ma tête
Je vais, je viens, palot comme l’hiver
Je vais, je viens
L'insomnie souffle sur mes yeux
Injecté de sang rouge et bleu
Si je tire tu bouges et on court ensemble
1, 2, 3 soleil dans des couloirs sombre
Essaye de voir à travers
Les nuages habillent le ciel
Ne fais plus semblant de croire
Ce que l’on t’a dit de croire
Il est mort hier qui donc, l’espoir
Plus d’énergie plus de touches au piano
Les couleurs s’éternisent
Les maladies fleurissent
Comme au printemps, j’attends
Les beaux jours, les jours rougis de peur
Car tu sais le temps ne t’appartient pas
Poésie surréaliste retourne à l’univers
Mettre à jour ma liste
De ce qu’il me reste à faire
Encore un matin où les flammes
Dansent dans le salon
Encore un matin où les armes
Chantent sur le balcon
Encore un matin où les flammes
Dansent dans le salon
Encore un matin où les armes
Chantent sur le balcon
Les armes brulent les mains des lâches
Tes larmes pour l’eau de nos pâtes
Prendre soin de moi j’en
Ai toujours pas l’âge 23 ans, 32 tatouages
La drogue me rend tout pâle
Les bleus ravivent mes bras
Tombés dans le grave les yeux noir corbeau
Gueule d’ange brisée
Persiste à s’en briser les os
Faire l’amour fait tourner le monde
Encore une journée à tenter ma chance
Courir les jupons des anges
L’argent a toujours fait tomber des bombes
Ma langue court le long de tes hanches
Il y a toujours un peu
De cœur chez les monstres
Encore une journée à tenter ma chance
Avant de perdre patience
Encore un matin où les flammes
Dansent dans le salon
Encore un matin où les armes
Chantent sur le balcon
Encore un matin où les flammes
Dansent dans le salon
Encore un matin où les armes
Chantent sur le balcon