Diapsiquir - A.M.A.C.C. paroles de (lyrics)
[Diapsiquir - A.M.A.C.C. paroles de lyrics]
Je me rassure sur tes fesses
Sur tes petit's seins
Je suis trempé mon poussin
Ça ne te rassure pas la Crasse
Et les traces sur mes mains
Je te hurlais de me griffer, de me couper
De me sucer de me laisser t'enculer
De me raconter ta journée d'écolier
Tu demandais:
"Arrêtez! Je voudrais respirer, m'en aller
Je vous promets que jamais je parlerai!
Jamais je parlerai!"
J'ai tout fait, supplier, t'amadouer
Menacer de te casser
Te jurer qu'on allait s'aimer à se tuer!
T'étouffais:
"Arrêtez! Je voudrais respirer, m'en aller
Je vous promets que jamais je parlerai!
Jamais je parlerai!"
Je te jure qu'au début t'étais bien
T'avais Tout: la jeunesse, le parfum
Je suis tombé sur toi ce matin
Je te susurre des promesses
Du divin et du venin
Mais tu es tombé mon poussin
Je t'assure que la Vase et
L'Extase ne font qu'un
Il est tombé le coup saint
Je me rassure sans tes fesses
Sans tes seins sous mes mains
Je te hurlais de me griffer, de me couper
De me sucer de me laisser t'enculer
De me raconter ta journée d'écolier
Tu demandais:
"Arrêtez! Je voudrais respirer, m'en aller
Je vous promets que jamais je parlerai!
Jamais je parlerai!"
- Tu sais ce qu'il faisait mon père? - Non?
- Tu sais quand on est bébé - Oui
- On tète le sein de sa mère? - Oui
- Lui cette espèce d'enculé
Il me faisait tailler une pipe - Beuh
- Il me faisait sucer son sexe - Beuh! bébé?
- quand j'étais bébé il
Était vicieux mon père
Mon père il était vicieux mon père
- Très vicieux? - Très vicieux
- C'est dégoûtant - Ben, je lui ai pardonné
Il faut bien il faut bien lui pardonner
Alors que tu t'enfonçais dans les bras
Laiteux de Morphée mon bébé
Je me pressais la queue sous les
Feux de la perfide Morphine mon épine
Celle qui m'a empêché de marcher
Droit à tes côtés sans m'arrêter
Sans elle tu serais le nez dans
Tes cahiers sans avoir goûté a ma pine
Au lieu des petit's carreaux
Tu sues et chiales sur mon brandi barreau
Tu devais tremper tes petit's gâteaux
Alors que j'éjacule sur ton petit bateau
"Je suis Grégory, ultime narrateur
Daniel Filipacchi le temps d'un après-midi
Ici pour présenter le dernier
Album de Diapsiquir, aNTI
Alors que Toxik avait raccroché
Après Virus STN
Décidant qu'il n'y avait plus
Rien à gerber sauf
De la bile au goût trop connu, fadasse et
Usé par le temps et le copiage
Tout a recommencé dans la Cave du 18
Ca ne devait pas se passer comme ça
Mais comme le hasard n'existe pas
Et que Diapsiquir ne se
Tue pas, après des mois enfermés
Damien et Pascal
Ont compris qu'ils devaient tout
Cracher, se lâcher, et le donner
- Guitare virgule voix virgule basse virgule
Synthés virgule cordes et batteries: Damien
- Basse programmation voix synthés: Pascal
Entre la cave du 18 et Montreuil, ils
S'occupent de tout, sans besoin de personne
Mais quand même ont participé:
1 sur "Omega-Low" deux points:
- John: batterie
- Goy et les autres de Pattaya
2 sur "Peste" deux points:
- Batterie: Point d'interrogation et John
- Trompette: M'Fouarah - Voix: Diaz
3 sur "ANTI" deux points: - Stephen: voix
- Violoncelle alto
Batterie: Point d'interrogation
4 sur "Ennui" deux points: - Batterie: John
- Voix: Diaz
Sobriété absolue, sobriété absolue
Juste quelques bolées d'eau ritualisées
5 sur "Avant" deux points:
- Voix: Stephen, Sam
6 sur "Fais le" deux points:
- John: batterie - Trompette: M'Fouarah
7 sur "Seul" deux points: - Batterie: i
- Piano: Alex - Voix: Stephen
8 sur "Kmkz" deux points: - Synthés: Alex
9 sur "A point M point A point
C point C point" deux points:
- Batterie: John - Voix: Diaz
Et bien sûr les skit's et les interludes
Première fois dans un vrai grand studio
Poussés par Adrien qui ne se
Doutait pas qu'il avait mis
Le pied dans des sables
Mouvants des plus acides
Beaucoup de drogue fumée, sniffée, injectée
Avalée, et énormément d'alcool
Sauf pour Adrien après quelques bad trips
Ca a pris beaucoup de temps, trop
D'ailleurs: énervement, frustration, dégoût
Motivation, abandon
Trois points de suspension
Ils ont attendu les autres, beaucoup
Il a fallu expliquer à des yeux écarquillés
Malheureusement pas maquillés: que
Des mâles là-dedans!
De la sueur, des anecdotes de
Culs tarifés et forcés, ou tièdes à souhait
Un premier jet, puis un autre
Ils voulaient absolument s'éloigner un
Maximum de leur
Base métallique et du fanté stérile
Le diable est partout, moins là
Où on le peint
Que dans les yeux où on l'ignore
Et où on le craint
(entre parenthèses: très mal dit)
Rats des villes qui s'inoculent
Leur propre peste
ANTI écarte ses cuisses larges
Aux poils collés
Et t'arrache la gorge un sourire scotché
Les pupilles dilatées
Vous n'existez pas, c'est entre eux et Lui
Toujours plus bas, vers et pour qui?
Allez fais le, allez fais le, allez fais le
Dimanche 11 juillet 2010
À quelques minutes et loin
Du bruit d'une finale
De coupe de foot perdue par l'Argentine"