Dominique A - Bowling paroles de (lyrics)
[Dominique A - Bowling paroles de lyrics]
Elle a ri fort, ça a claqué
Seules quatre des quilles sont tombées
Les voir t'a fait rater ton coup
Elle aurait pu attendre un peu
Aller avec toi juqu'au bout
Vous quittez le bowling ensemble
Ils traînent à l'arrière tous les deux
Tu ne l'aime pas mais il te semble
Qu'elle aurait pu attendre un peu
Il y a "Le Coup Franc" d'allumé
On est encore loin des deux heures
Les autres te voient rappliquer seul
Et les verres font les cascadeurs
Ta tête les fait tous bien marrer
Qu'a tu raconté tout à l'heure?
Tu as encore dû t'avancer trop, mais
Pour qu'une quille tombe il faut viser
Et tes yeux sans doute sont trops lents:
D'autres les font tomber avant
Tu t'es fait jeter du café
Ils t'avaient jamais vu comme ça
Seule la nuit ne veut pas te lâcher
C'est dommage qu'elle n'est pas de bras
Auquel tu puisse t'accrocher
Et tu te revois au bowling:
Ce soir, c'est toi qu'on a visé
Toi, la quille qui s'est faite dégommer
Toi, qui pensais être le bras
Celui qui atteindrait le mieux
Celle qui voudrait attendre un peu
Ca serait pas mal d'y retourner
D'aller tout dégommer d'un coup
Mais à cette heure c'est fermé
Tiens?! y a de la lumière chez le fou
Et tu entends des gens brailler
On t'ouvre, il y a du monde partout
C'est fête, le fou s'est fait virer
Par ici, on fête bien que des choses comme ça
Même la fille du bowling est là
Et seule, et comme elle te voit
Elle vient se coller contre toi
Et ta colère s'en va, dégoûtée
Il y a la plage, mais il fait froid
Et ton petit frère dors chez toi
Vous ne savez pas bien où aller
Mais vous finirez par trouver
Et c'est doux, ça ressemble à rien
Vous ne comprenez pas tout très bien
Vous ne comprenez pas le soleil
Qui vient vous chercher le matin
L'aube, vous n'y connaissez rien
Et vous pensez que tout se paye
Vous ne comprenez pas vos mains
Et ce sur quoi vos bouches embrayent
Et ces noeuds que vos bouches démêlent
Non vraiment, ça ne vous dit rien
Vous êtes bien tous les deux pareils:
Vous ne savez pas que vous avez faim