Euphonik - Octobre rouge paroles de (lyrics)

[Euphonik - Octobre rouge paroles de lyrics]

Le seul et unique souvenir qui
Se dessine dans la nuit
Comme un éclair qui déchire l'obscurité
C'est une obsession qui revient
À chaque instant
La haine, l'amitié, l'envie, le
Regret, le vide, l'amour, la douleur

Eh j'emmerde le Hip-Hop il m'a
Rarement tendu la main
Je n'ai pas suivi le mouvement
Moi j'ai créé le mien
Et comme dirait Lucio: ton âge d'or
Fous le toi au cul
Avec un skeud de Rockin Squat
Histoire qu'on n'en parle plus
Persuadé que la terre est plate quand
Ce monde ne tourne pas rond
On rêve tous d'une vie de baron
Devant notre assiette de pâtes
Est-ce des potes ou bien des putes?


Ne fais guère la différence
Parle moi de trahison
Je te parlerais de délivrance
Ça fait sept ans que j'ai les mêmes fringues
J'ai encore raté les soldes
Mais chaque année dieu merci
Ils redeviennent à la mode
J'ai renié aucun principe et
J'aurais vécu mon temps
Si les meilleurs partent les premiers
T'en as encore pour longtemps
Libre penseur dans le vent
Brasse de l'air quand il débite
Le bonheur est fait d'argent
Et de méchanceté gratuite
Je n'écoute plus les infos
Le silence est d'or, well
Ils ont l'allure de Big Brother
Comme dans le bouquin d'Orwell
Es tu jugé par les gens quand
Tu aimes sans limite aucune?
Car eux ça les répugne de mélanger le genre
Le visage criblé de larmes tu
Pries pour que l'arme s'enraye
Tu sais on s'aime tous d'amour
Mais différemment pareil
Tu es tristement triste
Aucun rictus quand tu parles
Le hasard fait bien les choses
Même la chance ne sourit pas
Tu te sens livré à toi même
Comme un dragon qui naît seul
Quelques litres pour oublier
Oui si facile d'enquiller ça mon utopie
Ma dystopie s'entremêlent à chaque ligne
L'impression de pleurer la vie comme
Si je visais Martine
Incohérent comme ce type qui pleure
La misère du monde
Mais qui ne donnerait pas un rond
À celui qui dort dehors
Y a de quoi être mort de honte
Mort au sens propre du terme
J'ai sincèrement de la peine pour
L'être humain à la longue
Détruire le monde j'y contribue à
Mon échelle en général
Plus facile d'accuser l'autre que de
Porter le poids du mal
Besoin d'ivresse sans liqueur comme
Une envie d'évasion
Ne plus voir défiler les heures
Ne plus perdre la raison
Besoin d'un amour vrai, presque irréel
Trop idéal qui ne s'efface même à la craie
Beau comme une aurore boréale
Et une envie de tout plaquer
D'oublier les mauvais jours
De ne plus jamais craquer dans
Un trajet sans détour
Les femmes se cachent pour leurrer
J'écris ça la larme à l’œil
Les hommes se cachent pour pleurer
Paraît-il par orgueil
Mon cœur est un cercueil
Que l'amour repose en paix
Une seul rime à suffit pour que
La mort vienne me hanter
Malgré les prises de bec
Les coups durs et les coups bas
Tu sais très bien qu'entre frères les
"je t'aime" ne se disent pas
Ils te vendront de l'espoir
Il te diront que la vie est belle
Elle m'a laissé quelques séquelles
Moi j'aurais aimé les voir
Si l'on m'avait dit un jour
Que les rêves n'aboutissent pas
À l'aube de ma vie j'aurais
Rayé ce bout d'histoire
Si l'on m'avait dit un jour
Que les rêves n'aboutissent pas
À l'aube de ma vie j'aurais
Rayé ce bout d'histoire
Si l'on m'avait dit un jour
Que les rêves n'aboutissent pas
À l'aube de ma vie j'aurais
Rayé ce bout d'histoire

Je me perds
Tout cela forme un tourbillon géant et
Puissant qui opprime ma faible
Conscience quelle ironie
L'homme qui m'a plongé dans le piège
Infernal de ces ténèbres est
À présent le seul espoir qui me tient en vie

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