Euphonik - Sous les ponts de Paris paroles de (lyrics)
[Euphonik - Sous les ponts de Paris paroles de lyrics]
L'hiver jouera son rôle et
N’emportera avec lui
C'est le temps qui assassine qui
Ne laisse aucunes traces
C'est l'angoisse qui domine
Où le beau n'est qu'en surface
Sous les ponts de Paris il
N'y a pas d'amour d'heureux
C'est l’hôtel de l'ennuie pour
Les plus miséreux
Seul, sous le pont des arts
Je suis enfermé dehors
Je vois vos amours morts et
J'en frissonne dans le blizzard
Ô toi capitale de l'ombre où
Est passé ta lumière
J'irais cracher sur ta tombe avant
Que tu ne m'enterres
Sous les ponts de Paname
C'est l'enfer en peinture
C'est quelques mésaventures entre
Deal et mélodrame
C'est des types en manque de came
Des tas de canettes enquillées
Des gars pas nettes et maquillés quand
Chez toi règne le calme
Sous les ponts de Paris
J'y suis depuis dix ans
Hier la vie m'a dit: terminus
Tout le monde décents
C'est près de la Seine que je m'endors
Le cœur en peine, il fait si froid dehors
C'est près de la Seine que je m'endors
Elle rôde depuis hier, la mort
Je vagabonde dans vos ruelles je
Sais que ça vous agace
L'ignorance est une garce et
L'argent un roi cruel
Comme une ordure venu d'ailleurs
J'accuse Paris de crime
Rien n'a faire de votre frime j'ai
De l'or pur à l'intérieur
J'envie les gens heureux des
Étoiles dans les yeux
Sous les pont de paris
On ne croit en plus dieu
Sous les ponts de Paris
C'est des amants qui se culbutent
C'est des camés qui se buttent et
Qui luttent contre la nuit
À toi ma douce France, qui écarte les fesses
Dis moi à quoi tu penses? Il y
A comme un trou les caisses
À la petite bourgeoise, qui tortille du cul
À la putain qui me dévisage
Mais qui ne se regarde plus
À ce vieillard qui rumine
Qui se taire dans le silence
C'est ma rage qui culmine au
Delà de mon existence
Sous les ponts de Paris
On survit on se démène
Ce n'est pas nous le problème
C'est Paris en lui même
C'est près de la Seine que je m'endors
Le cœur en peine, il fait si froid dehors
C'est près de la Seine que je m'endors
Elle rôde depuis hier, la mort