Euphonik, VII - Nos âmes paroles de (lyrics)
[Euphonik, VII - Nos âmes paroles de lyrics]
Parmi tous les oubliés
J’ai l’impression de te connaître
Comme si nos âmes étaient liées
Il y a des choses qu’on n’explique pas
Tant pis si je passe pour un fou
Ne me demande pas pourquoi
Moi j’y crois et puis c’est tout
Il y a cette voix à
L’intérieur, comme un miroir, un crucifix
Prêt à parier qu’elle est ailleurs
Je refuse de croire qu’elle est ici
Mais sur quel parallèle
Mes cinq sens veulent me duper
Tu peux m’ôter la vie
Mais crois tu pouvoir la buter
Et avec le temps j’ai fait le tri
Je n’ai gardé que l’essentiel
Car je me dis que le moindre ami
Est un ennemi potentiel
Nos âmes se superposent
On a surement les plus tordues
La mienne éperdument perdue
Parmi les plus moroses
Et si je pars un peu plus tôt
Au cas où je viens à renaître
Je me destine ces quelques mots
Et me dis à bientôt peut-être
Avant que mon âme s’effrite
Écoute un peu ce requiem
Car je me dis que le temps d’un titre
Je suis peut-être en feat avec moi-même
J’ai la tête dans l’aurore
Le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le
Corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint
Retiens que les mots sont nos armes
Et dans nos regards éteins l’émotion ne
Vaut rien sans nos âmes
J’ai la tête dans l’aurore
Le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le
Corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint
Retiens que les mots sont nos armes
Et dans nos regards éteins l’émotion ne
Vaut rien sans nos âmes
La clarté de l’esprit, et la bonté du cœur
Deux trésors à l’intérieur
Sincère moi je m’exprime
Je n’écris que pour les têtes
Mon Éden est miniature
Semblable à une bête enchaînée à sa nature
Immature plus qu’immatériel
Si bien dans la supercherie
L’essentiel est offert et le
Superflue hors de prix
Entre le corps physiques
Et le corps émotionnel
Les dimensions de mondes
Psychiques deviendront-elles sensationnelles
Ce monde a la déprime
Mais ne sait jamais pourquoi
T’as qu’à visé la Lune
On ne parle que des burkas
Ouvert et vigilant, le bushido d’un samouraï
La spiritualité a la splendeur d’un Sakura
Plongé dans le silence ou
Dans la contemplation
Attention à ne pas confondre
L’analyse et l’inaction
J’ai vaincu vos squelettes comme
Jason et les Argonautes
L’humilité c’est de savoir que l’on
A besoin des autres
J’ai le courage de mes défaites
Mes déceptions je les savoure
S’abreuver à la source
De la vie comme de l’amour
Les oiseaux morts ne volent pas
Ils s’échouent dans un ravin
Entre la foudre et l’holocauste
Trompettes et séraphins
J’ai le courage de mes défaites
Mes déceptions je les savoure
S’abreuver à la source
De la vie comme de l’amour
Les oiseaux morts ne volent pas
Ils s’échouent dans un ravin
Entre la foudre et l’holocauste
Trompettes et séraphins
J’ai la tête dans l’aurore
Le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le
Corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint
Retiens que les mots sont nos armes
Et dans nos regards éteins l’émotion ne
Vaut rien sans nos âmes
J’ai la tête dans l’aurore
Le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le
Corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint
Retiens que les mots sont nos armes
Et dans nos regards éteins l’émotion ne
Vaut rien sans nos âmes