Jok’Air - Je vous dis Merci paroles de (lyrics)
[Jok’Air - Je vous dis Merci paroles de lyrics]
Tu ne vaux rien, sans euros
La vie est dure pour un jeune négro
La vie est dure pour un jeune rebeu
Ou un jeune blanco des quartiers pauvres
Les quartiers pauvres sont
Des quartiers chauds
Quand l’homme a faim, ils sont surement faux
Moi j’n’ai qu’un rêve, quitter la tess
J'attise la haine, putain faut que j’me sauve
Pour les gens qui m’ont blessé
M'ont rabaissé, m'ont lynché
Qui ont essayé d'me baiser
Tous ces gens qui m'ont laissé
Je vous dit merci
Avec vous j’n’aurai jamais réussi
Pour les gens qui m’ont aimé
Qui m’ont supporté
Pour les gens qui m’ont élevé
Qui m’ont aidé à me relever
Je vous dit merci
Car sans vous j’n’aurai jamais réussi
Réussir est un bien grand mot
Quand tu veux être un grand de ce monde
L’environnement qui m’a vu grandir
Sans me voir venir, a fait d’moi un monstre
J’étais à l’aise dans les
Coins les plus sombres
Des rêves dans la tête et
Des trous dans les pompes
Je n’ai jamais envié quiconque
Rien à foutre ce qu’il y a
Sur le compte du vicomte
J’compte plus le nombre de fois
Où m’a dit d’lâcher l’affaire
Si j’étais faible, c’est ce que j’aurais fait
J’ai connu des défaites
Et les retournements de vestes
Heureusement que j’suis fort
Poto si tu savais
Comme ils veulent me tirer vers le bas
Chaque jour un nouveau combat
C’est dans l’tas qu’on apprend à se battre
Ça vend d’la came dans le parc
Y’a des rats dans tout le bat
Des cafards dans tout l’appart, coûte que
Coûte il faut qu’on parte, yeah
Yeah, yeah (yeah, yeah)
Yeah, yeah (yeah, yeah)
J’ai du livrer tous les moyens nécessaires
Négro, bah ouais de toutes les manières
Tôt au tard
J’viens du hood comme Lil Busy
J’viens du tieks comme Juicy P
Jviens d’la où la police rêve
Des sixties dans l’Mississipi
Toute ma vie j’n’ai fait que bibi
Sur le terrain comme Mike Bibby
Cross apparente sous la chemise
J’rentre calibré dans le showbizz
MC me fait pas la bise
Putain tu suces trop d’bite
Je ne suis pas ta copine
J’veux pas être dans ta combine
J’suis défoncé comme un hippie
Sous tize je n'fais qu'faire pipi
Euro step comme tippie
À London j’fais du shopping
Thank you so much
We’re the same, I understand you
Thank you, gosh you’re a beautiful story
Tu ne vaux rien, sans euros
La vie est dure pour un jeune négro
La vie est dure pour un jeune rebeu
Ou un jeune blanco des quartiers pauvres
Les quartiers pauvres sont
Des quartiers chauds quand l’homme a faim
Il s'transforme en fauve
Moi j’n’ai qu’un rêve, quitter la tess
J'attise la haine, Putain faut que j'me sauve
Pour les gens qui m’ont blessé
M'ont rabaissé, m'ont lynché
Qui ont essayé d'me baiser
Tous ces gens qui m'ont laissé
Je vous dit merci
Avec vous j’n’aurai jamais réussi
Pour les gens qui m’ont aimé
Qui m’ont supporté
Pour les gens qui m’ont élevé
Qui m’ont aidé à me relever
Je vous dit merci
Car sans vous j’n’aurai jamais réussi
Réussir est un bien grand mot
Quand tu veux être un grand de ce monde
L’environnement qui m’a vu grandir
Sans me voir venir, a fait d’moi un monstre
J’étais à l’aise dans les
Coins les plus sombres
Des rêves dans la tête et
Des trous dans les pompes
Je n’ai jamais envié quiconque
Rien à foutre ce qu’il y a
Sur le compte du vicomte
La vie est dure pour un jeune négro
La vie est dure pour un jeune rebeu
Ou un jeune blanco des quartiers pauvres
Les quartiers pauvres sont
Des quartiers chauds
Quand l’homme a faim, ils sont surement faux
Moi j’n’ai qu’un rêve, quitter la tess
J'attise la haine, putain faut que j’me sauve
Pour les gens qui m’ont blessé
M'ont rabaissé, m'ont lynché
Qui ont essayé d'me baiser
Tous ces gens qui m'ont laissé
Je vous dit merci
Avec vous j’n’aurai jamais réussi
Pour les gens qui m’ont aimé
Qui m’ont supporté
Pour les gens qui m’ont élevé
Qui m’ont aidé à me relever
Je vous dit merci
Car sans vous j’n’aurai jamais réussi
Réussir est un bien grand mot
Quand tu veux être un grand de ce monde
L’environnement qui m’a vu grandir
Sans me voir venir, a fait d’moi un monstre
J’étais à l’aise dans les
Coins les plus sombres
Des rêves dans la tête et
Des trous dans les pompes
Je n’ai jamais envié quiconque
Rien à foutre ce qu’il y a
Sur le compte du vicomte
J’compte plus le nombre de fois
Où m’a dit d’lâcher l’affaire
Si j’étais faible, c’est ce que j’aurais fait
J’ai connu des défaites
Et les retournements de vestes
Heureusement que j’suis fort
Poto si tu savais
Comme ils veulent me tirer vers le bas
Chaque jour un nouveau combat
C’est dans l’tas qu’on apprend à se battre
Ça vend d’la came dans le parc
Y’a des rats dans tout le bat
Des cafards dans tout l’appart, coûte que
Coûte il faut qu’on parte, yeah
Yeah, yeah (yeah, yeah)
Yeah, yeah (yeah, yeah)
J’ai du livrer tous les moyens nécessaires
Négro, bah ouais de toutes les manières
Tôt au tard
J’viens du hood comme Lil Busy
J’viens du tieks comme Juicy P
Jviens d’la où la police rêve
Des sixties dans l’Mississipi
Toute ma vie j’n’ai fait que bibi
Sur le terrain comme Mike Bibby
Cross apparente sous la chemise
J’rentre calibré dans le showbizz
MC me fait pas la bise
Putain tu suces trop d’bite
Je ne suis pas ta copine
J’veux pas être dans ta combine
J’suis défoncé comme un hippie
Sous tize je n'fais qu'faire pipi
Euro step comme tippie
À London j’fais du shopping
Thank you so much
We’re the same, I understand you
Thank you, gosh you’re a beautiful story
Tu ne vaux rien, sans euros
La vie est dure pour un jeune négro
La vie est dure pour un jeune rebeu
Ou un jeune blanco des quartiers pauvres
Les quartiers pauvres sont
Des quartiers chauds quand l’homme a faim
Il s'transforme en fauve
Moi j’n’ai qu’un rêve, quitter la tess
J'attise la haine, Putain faut que j'me sauve
Pour les gens qui m’ont blessé
M'ont rabaissé, m'ont lynché
Qui ont essayé d'me baiser
Tous ces gens qui m'ont laissé
Je vous dit merci
Avec vous j’n’aurai jamais réussi
Pour les gens qui m’ont aimé
Qui m’ont supporté
Pour les gens qui m’ont élevé
Qui m’ont aidé à me relever
Je vous dit merci
Car sans vous j’n’aurai jamais réussi
Réussir est un bien grand mot
Quand tu veux être un grand de ce monde
L’environnement qui m’a vu grandir
Sans me voir venir, a fait d’moi un monstre
J’étais à l’aise dans les
Coins les plus sombres
Des rêves dans la tête et
Des trous dans les pompes
Je n’ai jamais envié quiconque
Rien à foutre ce qu’il y a
Sur le compte du vicomte