Julien Clerc - Barbare paroles de (lyrics)
[Julien Clerc - Barbare paroles de lyrics]
Pas besoin d'aller loin
Dans ma mémoire quelque part
Dans le temps j'ai été barbare
Je le sais, je le sens
Dans mon corps, dans mon sang
C'est comme un volcan qui dort
J'ai passé mon enfance à courir
Les pieds sur la sable brûlant
La neige des glaciers
Je le sais, je le sens
Dans mon corps, dans mon sang
Quand m'atteint le vent du Nord
Seul sur mon Atlas j'étais à ma place
Parlant le langage des chevaux sauvages
Avec le désert pour seul univers
Oh, barbare
J'ai connu bien des femmes
Sous d'autres lois et j'ai vendu mon âme
Pour moins que toi
Je le sais, je le sens
Dans mon corps, dans mon sang
C'est comme un serpent qui mord
Seul sur mon Atlas j'étais à ma place
Dormant sous la lune au milieu des dunes
Seul à mon réveil avec le soleil
Oh, barbare
Seul sur mon Atlas j'étais à ma place
Parlant le langage des chevaux sauvages
Avec le désert pour seul univers
Oh, barbare
Seul sur mon Atlas j'étais à ma place
M'inventant des villes
D'ardoise et d'argile
Les neiges éternelles découpant le ciel
Oh, barbare oh, barbare
Oh, barbare oh, barbare
Dans ma mémoire quelque part
Dans le temps j'ai été barbare
Je le sais, je le sens
Dans mon corps, dans mon sang
C'est comme un volcan qui dort
J'ai passé mon enfance à courir
Les pieds sur la sable brûlant
La neige des glaciers
Je le sais, je le sens
Dans mon corps, dans mon sang
Quand m'atteint le vent du Nord
Seul sur mon Atlas j'étais à ma place
Parlant le langage des chevaux sauvages
Avec le désert pour seul univers
Oh, barbare
J'ai connu bien des femmes
Sous d'autres lois et j'ai vendu mon âme
Pour moins que toi
Je le sais, je le sens
Dans mon corps, dans mon sang
C'est comme un serpent qui mord
Seul sur mon Atlas j'étais à ma place
Dormant sous la lune au milieu des dunes
Seul à mon réveil avec le soleil
Oh, barbare
Seul sur mon Atlas j'étais à ma place
Parlant le langage des chevaux sauvages
Avec le désert pour seul univers
Oh, barbare
Seul sur mon Atlas j'étais à ma place
M'inventant des villes
D'ardoise et d'argile
Les neiges éternelles découpant le ciel
Oh, barbare oh, barbare
Oh, barbare oh, barbare