Klub des Loosers - Le Poing Américain paroles de (lyrics)
[Klub des Loosers - Le Poing Américain paroles de lyrics]
Cause de l'oncle d’Amérique
Celui qui a pris mes actions au
Point d'en limiter mes gestes
Un zeste d'amertume pour un grand
Plat rempli de vide
Et c'est chauffé, c'est prêt, on a mangé
C'est fait
Et j'ai des aigreurs d'estomac donc
Laisse tomber je reste là
Facile de noyer le poisson quand
On l'immerge dans du coca, batard
Tout le monde t'as vu cracher
Du haut des buildings
Ta Chrysler est en panne ombre
Chinoise dans le parking
Chez toi ce n'est pas pareil
C'est le pays des merveilles
Mieux vaut rêver les yeux ouverts parce
Qu'on te crève dans ton sommeil
De la pisse et du verre cassé
Sur le trottoir de tonton
Qui se fait du pognon en
Le racontant en chanson
Messieurs, il veut nous attacher avec
Ses chaînes en or
Traîne souvent en survet' même s'il
Ne fait jamais de sport
C'est mort pour être son pote
Si t'as le look coco (oh oh)
C'est l'embargo du mauvais côté du rideau
Pas d'hamburger, de jean, de ketchup
De Billie jean, skate, casquette, talkman
Basket, bandana, hula hoop et smurf
T'inquiète, la liberté est
Garée dans l'enclos
Ils en ont fait une vache pour
Faire de nous des veaux
J'suis là, j'crache un mollard sur une
Étoile à Hollywood Boulevard
Là où les stars font
Le trottoir comme Marylin
Des types derrière une carabine et
C'est son mac qu'on assassine
On a marché sur la Lune même
Si elle était en carton
L'important c'est d'y croire même si
Parfois les chances sont minces
Comme les corps de cette pute d'Hanoï cette
Guerre ce n'était pas la leur
D'ailleurs, chez les prêteurs
Achètent médailles pour peu de fric
Dans le pays mal accueillit par des
Hommes et femmes en tuniques
Les cheveux longs des hippies sont
Devenus courts et gris
Depuis, beaucoup sont partis et ceux
Qui restent font du profit
Il ne raconte pas d’anecdote l'oncle
Parce qu'il n'a pas d'histoire
Il fait semblant que non
Mais on sait qu'il a peur du noir
Et des avions qui volent bien trop
Vite et trop bas pour Superman
On sait qu'il n'est pas invincible il
Tremble à cause des frères Lehman
Et pleure quelques larmes en diamants il
A des potes au lac Léman
Il nous dit de fermer nos gueules parce
Que sans lui on serait Allemands
Licenciés sans faire parti d'aucune fédé
Juste de leur plan économique
À court de fric parce que
L'essence devient trop cher
J'attends près des locaux de
La compagnie pétrolière
Au crépuscule qu'un type en sorte et
Je le suis bien discrètement pas patriote
Moi j'ai le poing américain et virulent
Le laisse gisant dans son sang sur
Le trottoir et peint sa gueule
De la part des Indiens, et de Thomas Ogle