Le Bavar, Spécio - C'est mort paroles de (lyrics)
[Le Bavar, Spécio - C'est mort paroles de lyrics]
Ouais mon pote spécio, le Bavar, si si
Demain il fera sûrement beau
T’façon, j’ai le mental de John Rambo
Qu’il pleuve, qu’il vente
Qu’il neige ou qu’il fasse beau
Ce soir les plus beaux combos
J’ai un petit mot pour les
Miens et pour les animaux
Si t’as le Kärcher, nous on a le chalumeau
Je travaille au noir, en freestyle
J’pense à ma vie, quelle bagarre
Tous les jours à livrer bataille
J’ai ce flow qui raille
Ces rimes qui disent souvent aïe
J’prépare l’arme du crime, un crayon
Du papier la cause de tous les dangers
Des idées millésimées
Puis cette liberté d’expression, mon vœu
Je peux dire tout ce que je veux
Fils de pute, enculé d’tes morts, si je veux
(ouais) mais je ne le dirai pas
Sauf si je dois m’adresser à Nicolas
C’est mort, c’est hardcore, affreux
Sale et méchant
C’est mort, ici y a personne d’obéissant
C’est mort, ce quotidien étourdissant
Spécio, la Rumeur le del-bor
Ouais, j’les écris pour qu’elle reste
J’m’inquiète, car l’histoire bégaye
M’injecte du stress homologué
NF, le choléra ou la peste
Que dalle ici bas tous jetables
Vas-y teste rien qu’un zeste
Toucher rectal comme l’État
D’un air débonnaire, connard
Pacino ou Pasqua, c’est l’porc l’gros bonnet
On a transformé la crasse en art
La Forêt Noire tu la caches pas avec un arbre
Poto, l’immunité soigne les hématomes
Pardon, j’réveille les fantômes
Allô Madame la Rage
C’est un fan au téléphone
J’avance même si l’passé me serre très fort
Pas d’concurrence dans la souffrance
Ma vie j’la prends comme un trésor
Enrichi par les cris d’nos
Ancêtres qui résonnent
Dans c’désordre on mise sur l’ordre
Comme sur un canasson
Et tu penses qu’les clés du
Paradis sont sous l’paillasson
Eh ouais ouais ouais
C’est le son des lépreux
Les parias sont par là
C’est toujours ténébreux
Fiévreux jusque dans les hormones
Dominants jusqu’à c’qu’il y ait mort d’homme
Non, personne ne nous ordonne quoi qu’ce soit
Pas d’laisse ni d’collier
Ici les patrons laissent faire les tauliers
BAVAR et SPECIO
Le véritable underground en stéréo
Yo, trop de crasse dans l’propos
Pas l’choix, y a qu’ça qu’j’te propose
Sale est la prose, et en plus à haute dose
Quelques pédés voudraient qu’j’passe
À autre chose
C’est mort, c’est hardcore, affreux
Sale et méchant
Ils pourront dire qu’c’est chiant
Rien d’alléchant
T’façon, ils reviendront nous lécher
Comme des pucelles ici l’équipe des cas soc’
Qui tire les ficelles
Demain il fera sûrement beau
T’façon, j’ai le mental de John Rambo
Qu’il pleuve, qu’il vente
Qu’il neige ou qu’il fasse beau
Ce soir les plus beaux combos
J’ai un petit mot pour les
Miens et pour les animaux
Si t’as le Kärcher, nous on a le chalumeau
Je travaille au noir, en freestyle
J’pense à ma vie, quelle bagarre
Tous les jours à livrer bataille
J’ai ce flow qui raille
Ces rimes qui disent souvent aïe
J’prépare l’arme du crime, un crayon
Du papier la cause de tous les dangers
Des idées millésimées
Puis cette liberté d’expression, mon vœu
Je peux dire tout ce que je veux
Fils de pute, enculé d’tes morts, si je veux
(ouais) mais je ne le dirai pas
Sauf si je dois m’adresser à Nicolas
C’est mort, c’est hardcore, affreux
Sale et méchant
C’est mort, ici y a personne d’obéissant
C’est mort, ce quotidien étourdissant
Spécio, la Rumeur le del-bor
Ouais, j’les écris pour qu’elle reste
J’m’inquiète, car l’histoire bégaye
M’injecte du stress homologué
NF, le choléra ou la peste
Que dalle ici bas tous jetables
Vas-y teste rien qu’un zeste
Toucher rectal comme l’État
D’un air débonnaire, connard
Pacino ou Pasqua, c’est l’porc l’gros bonnet
On a transformé la crasse en art
La Forêt Noire tu la caches pas avec un arbre
Poto, l’immunité soigne les hématomes
Pardon, j’réveille les fantômes
Allô Madame la Rage
C’est un fan au téléphone
J’avance même si l’passé me serre très fort
Pas d’concurrence dans la souffrance
Ma vie j’la prends comme un trésor
Enrichi par les cris d’nos
Ancêtres qui résonnent
Dans c’désordre on mise sur l’ordre
Comme sur un canasson
Et tu penses qu’les clés du
Paradis sont sous l’paillasson
Eh ouais ouais ouais
C’est le son des lépreux
Les parias sont par là
C’est toujours ténébreux
Fiévreux jusque dans les hormones
Dominants jusqu’à c’qu’il y ait mort d’homme
Non, personne ne nous ordonne quoi qu’ce soit
Pas d’laisse ni d’collier
Ici les patrons laissent faire les tauliers
BAVAR et SPECIO
Le véritable underground en stéréo
Yo, trop de crasse dans l’propos
Pas l’choix, y a qu’ça qu’j’te propose
Sale est la prose, et en plus à haute dose
Quelques pédés voudraient qu’j’passe
À autre chose
C’est mort, c’est hardcore, affreux
Sale et méchant
Ils pourront dire qu’c’est chiant
Rien d’alléchant
T’façon, ils reviendront nous lécher
Comme des pucelles ici l’équipe des cas soc’
Qui tire les ficelles