Lucio Bukowski - Hourvari paroles de (lyrics)
[Lucio Bukowski - Hourvari paroles de lyrics]
La fête celle qu’on
Entend d’aussi loin qu’on se
Souvienne depuis les
Temps qu’on était petit
Celle qui ne s’arrête jamais
Par-ci par-là, dans les encoignures
De la ville, dans les petit's endroit's
De la campagne, partout où les pauvres vont
S’asseoir au bout de la semaine
Pour savoir ce qu’ils sont devenus
Paradis! qu’on leur dit et puis
On fait jouer de
La musique pour eux, tantôt ci tantôt là
D’une saison dans l’autre, elle clinque
Elle moud tout ce qui faisait danser
L’année d’avant les riches c’est la
Musique à la mécanique qui
Tombe des chevaux de
Bois, des automobiles qui n’en sont pas
Des montagnes pas russes du
Tout et du tréteau de lutteur qui n’a pas de
Biceps et qui ne vient pas de Marseille
De la femme qui n’a pas de barbe
Du magicien qui est
Cocu, de l’orgue qui n’est pas en or
Derrière le tir don't les œufs
Sont vides c’est la fête
À tromper les gens du bout de la semaine"