Manau - Cet homme paroles de (lyrics)
[Manau - Cet homme paroles de lyrics]
Encore merci à vous tous mes amis
Tout ceux qui n'ont jamais vraiment douter
Moi qui ne suis que le flou de ma vie
Je n'ai pas vu le malheur arrivé
Lui qui me disait que tout est permis
Que je pouvais tranquillement m'en aller
Laisser mon coeur en bonne compagnie
Sans même penser qu'on pouvait me tuer
Mais XXX, mon âme
Mais qu'ont-ils fait de moi?
Sous cette femme, la main sainte d'un roi
Cet homme qui ne sait pas parler
Cet homme qui ne sait pas
Cet homme qui ne fait que douter
Quand il semble être là
Mais veuillez me pardonner si je
Vous dit tout ça
Moi qui ne suis que l'être aîmé
D'aucune femme à la fois
Bien sûr que j'ai laissé couler du temps
Pour faire semblant de ne pas regarder
En me disant que le monde était grand
Qu'il serait simple de tout oublier
Moi qui ne suis que l'ombre de ces gens
Je n'ai jamais su me faire écouter
Hurler, crier jusqu'à perdre mes dents
N'aurait suffit qu'à les faire rigoler
Mais comme le charme de ces
Jeunes filles de joie
Sous leurs larmes que personne ne voit
Cette qui ne sait pas parler
Cet hommme-là c'est moi
Cet homme qui ne fait que douter
N'a pas le droit d'être là
Alors voyez-vous je sais maintenant
Ce qu'il me faut avant d'aller prier
Passer de l'autre côté du couvent
Et laisser mon instinct se libérer
Et le drame pour ces jeunes filles de foi
Sous ma lame découvrent leur trépas
Tout ceux qui n'ont jamais vraiment douter
Moi qui ne suis que le flou de ma vie
Je n'ai pas vu le malheur arrivé
Lui qui me disait que tout est permis
Que je pouvais tranquillement m'en aller
Laisser mon coeur en bonne compagnie
Sans même penser qu'on pouvait me tuer
Mais XXX, mon âme
Mais qu'ont-ils fait de moi?
Sous cette femme, la main sainte d'un roi
Cet homme qui ne sait pas parler
Cet homme qui ne sait pas
Cet homme qui ne fait que douter
Quand il semble être là
Mais veuillez me pardonner si je
Vous dit tout ça
Moi qui ne suis que l'être aîmé
D'aucune femme à la fois
Bien sûr que j'ai laissé couler du temps
Pour faire semblant de ne pas regarder
En me disant que le monde était grand
Qu'il serait simple de tout oublier
Moi qui ne suis que l'ombre de ces gens
Je n'ai jamais su me faire écouter
Hurler, crier jusqu'à perdre mes dents
N'aurait suffit qu'à les faire rigoler
Mais comme le charme de ces
Jeunes filles de joie
Sous leurs larmes que personne ne voit
Cette qui ne sait pas parler
Cet hommme-là c'est moi
Cet homme qui ne fait que douter
N'a pas le droit d'être là
Alors voyez-vous je sais maintenant
Ce qu'il me faut avant d'aller prier
Passer de l'autre côté du couvent
Et laisser mon instinct se libérer
Et le drame pour ces jeunes filles de foi
Sous ma lame découvrent leur trépas