Mononc' Serge - L'homme qui ne voulait plus vivre paroles de (lyrics)
[Mononc' Serge - L'homme qui ne voulait plus vivre paroles de lyrics]
L'homme qui ne voulait plus vivre
Circule parmi les vivants
Comme une ombre douée de paroles
Un espion du néant
L’homme qui ne voulait plus vivre
A le regard éteint des vaches aux yeux vides
Qui regardent passer les trains
L’homme qui ne voulait pas vivre
N’espère plus rien il vit dans l’expectative
Des malheurs du lendemain
Il avance comme un fantôme
Le long des corridors à moitié vivant
À moitié mort
L’homme qui ne voulait plus vivre
Se détourne des affaires publiques
L’ennui est sa seule patrie
L’indifférence, sa politique
L’homme qui ne voulait pas vivre
A déserté le genre humain
Il se sent plus près des choses
Qui ne ressentent rien
L’homme qui ne voulait pas vivre
N’espère plus rien
Il attend que le soir arrive
Puis, qu’arrive le matin
Il ne souhaite même pas mourir
Il ne souhaite strictement rien
À moitié vivant à moitié mort
L’homme qui ne voulait pas vivre
N’espère plus rien il a bien pesé le pour
Mais le contre est bien plus lourd
Et il attend que la vie achève
Comme un poisson sur la grève
À moitié vivant à moitié mort
Circule parmi les vivants
Comme une ombre douée de paroles
Un espion du néant
L’homme qui ne voulait plus vivre
A le regard éteint des vaches aux yeux vides
Qui regardent passer les trains
L’homme qui ne voulait pas vivre
N’espère plus rien il vit dans l’expectative
Des malheurs du lendemain
Il avance comme un fantôme
Le long des corridors à moitié vivant
À moitié mort
L’homme qui ne voulait plus vivre
Se détourne des affaires publiques
L’ennui est sa seule patrie
L’indifférence, sa politique
L’homme qui ne voulait pas vivre
A déserté le genre humain
Il se sent plus près des choses
Qui ne ressentent rien
L’homme qui ne voulait pas vivre
N’espère plus rien
Il attend que le soir arrive
Puis, qu’arrive le matin
Il ne souhaite même pas mourir
Il ne souhaite strictement rien
À moitié vivant à moitié mort
L’homme qui ne voulait pas vivre
N’espère plus rien il a bien pesé le pour
Mais le contre est bien plus lourd
Et il attend que la vie achève
Comme un poisson sur la grève
À moitié vivant à moitié mort