Mononc' Serge - Requiem pour la marde paroles de (lyrics)
[Mononc' Serge - Requiem pour la marde paroles de lyrics]
Jour charnière pour notre espèce
Après des décennies de tests
La science accouche du comprimé
Qui dispensera les hommes de chier
Regardez cette marée humaine
Tous affluent, trépignent, tous en prennent
L’espoir embrase toutes la nations
Il n'y aura plus défécation
Hier encore la foudre brune
Frappait sans distinction aucune
Même les femmes les plus belles
Subissaient l'outrage des selles
Comment une si abjecte fange
Osait-elle couler de ces anges
J’applaudis la fin de l’insulte
L’infâme est écrasé, j'exulte
Fini le martyre séculaire
Qui faisait s'accroupir nos pères
Couverts de honte baignés de sueur
Dans les mouches et la puanteur
Les hommes qui demain, nous suivront
Incrédules se demanderont
Comment faisaient-ils nos ancêtres
Vraiment, ils vivaient comme des bêtes
Voici qu’arrivent les dignitaires
De tous les pays de la terre
Voici les cloches qui sonnent le glas
Et les porteurs qui portent le tas
Le fossoyeur recouvre de terre
Le dernier étron de l’histoire
On ne verra plus un homme qui chie
La race humaine est affranchie
La tête haute, enfin nous voilà
Plus suaves que les nymphes des bois
Et plus légers que les outardes
Requiem pour la marde
Après des décennies de tests
La science accouche du comprimé
Qui dispensera les hommes de chier
Regardez cette marée humaine
Tous affluent, trépignent, tous en prennent
L’espoir embrase toutes la nations
Il n'y aura plus défécation
Hier encore la foudre brune
Frappait sans distinction aucune
Même les femmes les plus belles
Subissaient l'outrage des selles
Comment une si abjecte fange
Osait-elle couler de ces anges
J’applaudis la fin de l’insulte
L’infâme est écrasé, j'exulte
Fini le martyre séculaire
Qui faisait s'accroupir nos pères
Couverts de honte baignés de sueur
Dans les mouches et la puanteur
Les hommes qui demain, nous suivront
Incrédules se demanderont
Comment faisaient-ils nos ancêtres
Vraiment, ils vivaient comme des bêtes
Voici qu’arrivent les dignitaires
De tous les pays de la terre
Voici les cloches qui sonnent le glas
Et les porteurs qui portent le tas
Le fossoyeur recouvre de terre
Le dernier étron de l’histoire
On ne verra plus un homme qui chie
La race humaine est affranchie
La tête haute, enfin nous voilà
Plus suaves que les nymphes des bois
Et plus légers que les outardes
Requiem pour la marde