MPL - Kind Kind war paroles de (lyrics)
[MPL - Kind Kind war paroles de lyrics]
Et se perd dans les
Miroirs des cabines d'essayage
Chez lui, un homme se fait beau pour séduire
Mais pas pour aimer en bas
Un autre tourne dans le
Quartier depuis plusieurs jours
A la recherche d'une place
Et sur son balcon
Une vieille arrose ses omoplates
En espérant que des ailes lui poussent
En attendant j'aiguise ma lame
Déguise mes larmes sous la pluie
En attendant j'aiguise ma lame
Déguise mes larmes sous la pluie
En attendant en attendant
En attendant en attendant
En attendant qu'les pavés volent
Je joue le treize, souvent
Un prophète ne vient jamais seul jamais seul
Pourtant on ne sait que trop tard
Les erreurs que l'on commet
On attendra sûrement longtemps de
Voir le sommet
On entendra peut-être pas la révolte sonner
A l'heure où les vieux du
Prochain siècle sont nés
Un amant court avec un bouquet
Regarde par dessus son épaule, mais
Ne voit rien du tout
Une trapéziste rate son numéro favori
S'envole, et fait ses adieux au cirque
Chez lui, un couple qui ne s'aime plus
Attend patiemment un nouvel enfant
Au coin du feu
Une petite fille contemple la mer et constate
Avec surprise qu'elle ne danse plus
En plein déluge
Un passant referme son parapluie
D'un coup sec et poursuit son chemin
Il y a trente ans jour pour jour
Une femme devenue homme
Changeait l'intégralité de sa garde-robe
Face à la mort
Un malade demande à ce qu'on grave
Son adresse mail sur sa tombe
Au bord du monde
Une femme qui voulait en finir
Saute en criant: "Maintenaaant"
En attendant j'aiguise ma lame
Déguise mes larmes sous la pluie
En attendant j'aiguise ma lame
Déguise mes larmes sous la pluie
En attendant en attendant
En attendant en attendant
En attendant qu'les pavés volent
Je joue le treize, souvent
Un prophète ne vient jamais seul jamais seul
Pourtant on ne sait que trop tard
Les erreurs que l'on commet
On attendra sûrement longtemps de
Voir le sommet
On entendra peut-être pas la révolte sonner
A l'heure où les vieux du
Prochain siècle sont nés
Au beau milieu d'un champ
Un homme écrase des brins d'herbe
Qui finiront par repousser comme toujours
Il était sur le point de
Faire résonner son époque, mais
Chaque chose en son temps
Là, il meurt et troque la
Vie contre ce moment
Nous ne sommes donc plus que
Sept milliards trois cent trente
Quatre million quatre cent
Soixante quatre mille huit cent soixante dix
Demain, le soleil se lèvera à
Huit heures zéro une
Et se couchera à dix neuf heures treize
En attendant j'aiguise ma lame
Déguise mes larmes sous la pluie
En attendant j'aiguise ma lame
Déguise mes larmes sous la pluie
En attendant en attendant
En attendant en attendant
En attendant qu'les pavés volent
Je joue le treize, souvent
Un prophète ne vient jamais seul jamais seul
Pourtant on ne sait que trop tard
Les erreurs que l'on commet
On attendra sûrement longtemps de
Voir le sommet
On entendra peut-être pas la révolte sonner
A l'heure où les vieux du
Prochain siècle sont nés