Nakk Mendosa - Nakkos paroles de (lyrics)

Y'a des jours rien à foutre
De mon nom d'artiste c'est Tonton Narcisse
Bon pour l'asile
Lyrics de dingue, mets ça dans ton article
Nous on a l'sourire tant qu'on a l'bif
Donc on abdique rebelles à la Cantona
On donne quand on a l'bif
Toujours le bif, c'est maladif fais l'compte
Mais c'est pas eux qui gagnent
C'est nous qui perdons tu vois la diff'?
La routine te dévore
Vivant, tu fais plus d'efforts
Au bout d'dix ans tu divorces
Ou tu dors sur le divan d'force
Posté devant le porche, joint d'malade
Smirnoff
C'est plus des gueules qu'ils ont mes potes
Nan c'est des ganaches-nikov
J'vais leur faire user leurs balles en titane
Avant d'tipar
J'fais confiance à l'anti balles
J'fonce, j'ralentis pas
Moi je sais pas quelle
Langue ils parlent mais
Avant d'dead j'vais m'faire plaiz'
J'suis un gagnant
C'est un perdant qu'a inventé le fair-play
T'sais ils prennent cher frère
Mais ils sont consentants
Moi j'suis concentré, j'fonce en vrai
Eux ils font semblant

Nakkos, yeah nakkos, yeah
Nakkos, yeah nakkos
Nakkos, yeah nakkos, yeah
Nakkos, yeah nakkos
Nakkos, yeah nakkos, yeah
Nakkos, yeah nakkos
Nakkos, yeah nakkos, yeah
Nakkos, yeah nakkos

En narguant mon putain d'destin
Je sais que j'ai dû l'froisser
Dédicacé à ceux qui reviennent de loin
On a dû s'croiser
L'huissier de mes couilles et
Les coupures EDF
Hé, ne mettez plus les pieds chez nous
Vous puez des ieds-p'
Quand ça tire on s'en bat les illes-cou
Oh no l'argent divise les potes de longue
Date comme Yoko Ono
Les porcs parlent à tort et à travers
J'aurais tort de me laisser faire
Putain c'est fort, ils ont fait comme si ils
Regrettaient la mort d'Aimé Césaire
Dans leur game, y'a plus d'armistice
Avec mes trucs artistiques
J'suis tricard disent-ils
Plus de points sur le permis frérot
Trop de dérapages verbaux
Traverse vite le désert
T'auras pas de verre d'eau
J'sais que la rue me kiffe
Mais la rue fait style
J'suis le boss j'ai envoyé un
Mail à Bruce Springsteen
Amour, haine: deux sentiments
Qu'on a condensés
Comme disent les cas soc': "C'est
Pas nous qu'on a commencé"