Orus - Fleuve noir paroles de (lyrics)
[Orus - Fleuve noir paroles de lyrics]
Touches, y'a du cloporte en
Dessous dans les matelas
Dans les casseroles, tout est
Pourri dans les sentiments, dans
Les mots qu'tu dis ici y'a des cloportes
Des cafards et d'la pisse de rat
J'connais mes failles, couvert de fissure
Le vase déborde, très peu d’anecdotes
Beaucoup d'mauvais présages
La forêt est noire j'mordais mes doigts à
L'ombre des caméscopes
Les faux-prophètes persuadent les
Sous-merdes de minus
Ils gouvernent le bitume, le Fouquet's
Te bizute le bourrelet
Veulent qu'on s'soumettent au
Phébus de nous-mêmes prend un procès verbal
La demi-lune me stimule l'habitude
L'habitude de biture
Assidu fait qu’j’titube
Très diffus dans la lune brune
Peu taciturne particule de virus
Ces brise burnes nous manipulent
La tribu se triture
Cherche l’issue d’une vie dure
Plein d’bidules qui s’animent
Sur la figure des griffures
Un abîme de silures et d’illustres vaniteux
Fleuve noir dans les veines
Je me noie dans mes brèches
Peu de foi dans mes rêves
Fleuve noir dans les veines
Je me noie dans mes brèches
Peu de foi dans mes rêves
Des crevasses et des gouffres
L’enfer veille des geushla et des pouffes
J’veux m’en extraire très peu sinon
Dans l’désert loin des queues de
Rats et des goules j’manque d’air frais
Les vipères persistent à vouloir nous mordre
Sous forme de coup bas
Loufoques hyper technique
Dans ce couloir coupe gorge toutes
Les portes sont fermées
Et les loubards sous drogues voient
Les dix plaies d’Égypte
Des troubadours morts
Des viscères, des tripes le pouvoir nous
Faut qu’le courage nous porte
Vers le succès d’estime
Les suceurs succombent aux succubes
Leur monde cybernétique
Ils veulent mes zinzins
D'hashashin à l’asile ou gisants sur le sol
Avant qu’le hasards n’fasse un
Signe t’as la vie
Azazel f’ra joujou sur ce corps
Il est temps d’s’assagir comme jaja
Faire zazen dans ma zone on
Recherche le Saint Graal
Le travaille à l’usine vous usera halalement
Les flics sont racistes mais ne
Tirent pas à blanc
Fleuve noir dans les veines
Je me noie dans mes brèches
Peu de foi dans mes rêves
Fleuve noir dans les veines
Je me noie dans mes brèches
Peu de foi dans mes rêves
Des crevasses et des gouffres
L’enfer veille des gueshla et des pouffes
J’veux m’en extraire très peu sinon
Dans l’désert loin des queues de
Rats et des goules j’manque d’air frais