Oxmo Puccino - La nuit m'appelle paroles de (lyrics)
[Oxmo Puccino - La nuit m'appelle paroles de lyrics]
Officiellement dans les premiers appelés
C’est ma sœur de couleur
J’ai scellé la porte et fondu la clé
Privé de sortie tes yeux sont gonflés
L’insomnie me poursuit quand t’as
La chance de ronfler
Remercie plutôt tes parents de s’inquiéter
Quand t’es pas rentré (e)
C’est le crépuscule la crapule en
Toi sort d’entre parenthèses
L’ambiance est maléfique
Tu te découvres un autre visage
Tu changes d’accoutrement qui sait
Ce qui s’envisage
Reste sourd à ses coups de fil
Où tes pieds décollent
Suspendu au cou par un bout de ficelle
Découpez les fils, y’a plus de crédit
J’ai détruit l’antenne
Jetez la batterie, il sonne quand même
La nuit t’appelle
La nuit elle t’appelle pas par hey yo
Quel angoissant silence radio
T’es pas chez toi, non
T’es bien dans son royaume
Ce tourbillon dans tes boyaux
Je sais j’en suis resté éveillé des millions
Qui ne croyait pas aux fantômes
Lumière éteinte la pénombre
Te fais crier, oh non!
Ce n’était que des ombres
Tu dois avoir tes raisons
La nuit les hommes ne sont pas pareils
T’es ivre à blâmer et la nuit t’appelle
Elle t’attend au bout de la
Route armée de sa pioche, sa pelle
Les flashs me reviennent
Coupent mon sommeil au scalpel
Je lui disais prends ce top
Model et réserve à l’hôtel
Préserve toi des cocktails où
Ton volant se bloque
Sous les forces invisibles
Au troisième virage arrive l’imprévisible
Évite ces heures où le froid rôde
Cache tes émeraudes, secoue tes éperons
Galope vers le hall
Tu recomposes ton digicode
Pourtant derrière toi y’a personne
Tes battements de cœur s’accélèrent comme
Si ta dernière heure sonne
Elle confond pas parler fort et être forte
Les yeux ouverts tu rêves
De bruit lorsqu’elle chuchote
Les fenêtres claquent et les rideaux flottent
Le soleil fuit, les démons complotent
Lorsqu’elle m’appelle tant pis pour ma belle
Sur elle se replie la couette
Une feuille m’attend
Roulons vers Black Poéto
La nuit elle t’appelle pas par hey yo
Quel angoissant silence radio
T’es pas chez toi, non
T’es bien dans son royaume
Ce tourbillon dans tes boyaux
Je sais j’en suis resté éveillé des millions
Qui ne croyait pas aux fantômes
Lumière éteinte la pénombre
Te fais crier, oh non!
Ce n’était que des ombres
Tu dois avoir tes raisons
La nuit les hommes ne sont pas pareils
Le matin revenu
Beaucoup ont perdu la boussole
Aux jeux d’argent clandestins
Du deuxième sous-sol
C’est la nuit et son taux de viols
Du métal dans le coffre des bagnoles
Les babioles scintillent
Les filles frivoles!
"n"ième passage à la douane espagnole
C’est l’heure de pointe donc
Les rames se vident
Je voulais pas rater le dernier
D’une heure moins dix
À pieds, pas fini de traverser la ville
Quartier sensible
Les jeunes se font la guerre civile
La nuit porte conseil à la
Fin c’est elle qui décide
Elle t’appelle en traître dès que
Le jour se retire
Tu te demandais est-ce la dernière à
L’aube c’est reparti pour un tour
Rien à faire à part attendre
Que le jour se lève
Avoir encore sommeil au réveil
Et chercher l’oseille
La nuit elle t’appelle pas par hey yo
Quel angoissant silence radio
T’es pas chez toi, non
T’es bien dans son royaume
Ce tourbillon dans tes boyaux
Je sais j’en suis resté éveillé des millions
Qui ne croyait pas aux fantômes
Lumière éteinte la pénombre
Te fais crier, oh non!
Ce n’était que des ombres
Tu dois avoir tes raisons
La nuit les hommes ne sont pas pareils