PLK - Dylan paroles de (lyrics)
PLK [Mathieu Pruski] Paris, France 🇫🇷
[PLK - Dylan paroles de lyrics]
C'est l'histoire du p'tit Dylan
C'est une histoire vraie
Là, je vais te parler de vrais coups
Durs comme à la boxe anglaise
Ça va me marquer toute ma iv
J'arrive pas à l'oublier
Malgré mes tentatives
C'était en juillet, donc il faisait chaud
J'étais fougueux
Je ne faisais pas la part des choses
J'ai rencontré ce pote là en cances-va
A neuf ans sa vie était niquée d'avance car
Ce p'tit Dylan habitait dans une
Maison à deux étages
Sûrement acquis à la mort d'un
Proche grâce à l'héritage
Sa maman enceinte, heureuse
Elle les rend si fier
Le jour de ses six ans il
Apprena l'attente de son p'tit frère
Merde, jusque là tout va bien
Il avait pour habitude de lancer
Des pétards dans le jardin
Pour faire aboyer le chien du voisin
Car ça le faisait beaucoup marrer
Ce jour là, il perdit le sourire à jamais
J'vais t'expliquer pourquoi la vie
Peut tourner vite
En un instant il brisa la vie de son équipe
Ce jour là
Il joue dans sa chambre au deuxième étage
Son p'tit frère s’amuse dans le jardin
Dans son espace d'enfant
Pour rigoler il jette sans regarder
Un pétard par la fenêtre
L'explosion le fit beaucoup rire
Il s'imagine la scène
Le chien aboyer, le voisin va gueuler
Il s'met sur une chaise pour zieuter
Il entendit des cris en bas dans le jardin
Son petit frère était entrain de gueuler
Il lui a fait péter la main
Le visage ensanglanté
Sa vie a tourné en à peine un centième
Il l’incendie sans pouvoir masquer sa peine
Ses parents, ne lui ont jamais pardonné
A neuf ans
Le p'tit Dylan s'est fait abandonné
Sa grand-mère le recueillis chaleureusement
C'était la seul qui c'était
Opposé à son placement
Dans une famille d’accueil
Ce soir là c'est l'p'tit Dylan
Qui a marqué ma feuille
C'est une histoire vraie
Là, je vais te parler de vrais coups
Durs comme à la boxe anglaise
Ça va me marquer toute ma iv
J'arrive pas à l'oublier
Malgré mes tentatives
C'était en juillet, donc il faisait chaud
J'étais fougueux
Je ne faisais pas la part des choses
J'ai rencontré ce pote là en cances-va
A neuf ans sa vie était niquée d'avance car
Ce p'tit Dylan habitait dans une
Maison à deux étages
Sûrement acquis à la mort d'un
Proche grâce à l'héritage
Sa maman enceinte, heureuse
Elle les rend si fier
Le jour de ses six ans il
Apprena l'attente de son p'tit frère
Merde, jusque là tout va bien
Il avait pour habitude de lancer
Des pétards dans le jardin
Pour faire aboyer le chien du voisin
Car ça le faisait beaucoup marrer
Ce jour là, il perdit le sourire à jamais
J'vais t'expliquer pourquoi la vie
Peut tourner vite
En un instant il brisa la vie de son équipe
Ce jour là
Il joue dans sa chambre au deuxième étage
Son p'tit frère s’amuse dans le jardin
Dans son espace d'enfant
Pour rigoler il jette sans regarder
Un pétard par la fenêtre
L'explosion le fit beaucoup rire
Il s'imagine la scène
Le chien aboyer, le voisin va gueuler
Il s'met sur une chaise pour zieuter
Il entendit des cris en bas dans le jardin
Son petit frère était entrain de gueuler
Il lui a fait péter la main
Le visage ensanglanté
Sa vie a tourné en à peine un centième
Il l’incendie sans pouvoir masquer sa peine
Ses parents, ne lui ont jamais pardonné
A neuf ans
Le p'tit Dylan s'est fait abandonné
Sa grand-mère le recueillis chaleureusement
C'était la seul qui c'était
Opposé à son placement
Dans une famille d’accueil
Ce soir là c'est l'p'tit Dylan
Qui a marqué ma feuille