Shurik’n, Faf Larage - À moi la garde paroles de (lyrics)
[Shurik’n, Faf Larage - À moi la garde paroles de lyrics]
Long en large
Le Duc Larage le Roi de l'orage très
Haut dans la hiérarchie des mages
Multiplie sorts et illusions contre la
Haine raciale relent du chaos
Ici on brûle des marauds torture
Le mal et ses dévots
La victoire prévaut je veux
Leur plainte comme écho
De mes mélopées antiques active
Mes mains frénétiques
Défie leurs cantiques leurs sorciers ne
Risquent pas de réplique
Perplexes perdus dans le vide soumis
Aux pouvoirs de l'épée runique aux
Atouts fantastiques en pratique
Embroche les punis
Soldats cette fois encore on les humilie
Pour la gloire de tout ce qui les terrifie
Solidifie mon emprise définitive
Stériles sont leurs dispositifs expéditive
Stormbringa! Issue des fournaises
De l'Apocalypse
Chantant les éclipses des têtes volent
Jusque dans les récifs
Mars revient, massif est l'assaut
"Frapper dans le vif est son
Objectif" pour les hauts nobles
On est hors la-loi, hors de leurs lois
De leurs sous-bois
Un tourbillon de force qui s'axe
Surgit de nulle part
Les conquérants ne sont plus une fois de plus
Le carnage a eu lieu on l'a
Vu c'est le sort des vaincus
Inscrit donc dans les coins sombres
De ces pages de l'histoire
Ces noms, ces hauts fait's, ces victoires
À moi la Garde! Forge l'esprit au combat
À moi la Garde! Porte la
Hargne à bout de bras
À moi la Garde! Sabre au clair
Défend nos terres
Déjoue les pièges des hautes sphères
Arrive l'heure des sombres, soudaine brutale
Manteaux de métal en éclaireur
Sereine mais létale la troupe s'étale
Sur l'horizon dans les yeux pas
De crainte un raz-de marée
Un flot de rage que seuls
Les sages évitent d'affronter
Un seul sang une seule route la
Guerre une seule voie le fer
Un seul but l'enfer que
Les faibles se terrent
Sous la chair la bête gronde
Assiège l'esprit je lutte
Moment de répit avant la
Furie blason brandit, je bondis
Esquive, contre
Ballet sanglant sous une pluie de rubis
Où chaque pas sème la mort
Plongeant les dames dans l'oubli
Les braves dans la nuit déchiquetés tentent
De fuir leurs courses finies
Dans les griffes de mon destrier
Leurs ames n'ont pas le temps de crier
De côtes de mailles en côtes de
Mailles je taille couillu comme fuyard
Le sourire et la bave aux lèvres
À faire frémir comme Bayard
Une ombre courant d'air tueur
Partout et nulle part
Le temps s'estompe Serval au
Sommet de son art
Bardes pincez les cordes que les
Vents chantent à nouveau
Le rouge récit de Shu le
Terrible étripant niais et marauds
À l'assaut des donjons où dorment
Les pensées libres et
Les gardes suintant de haine par tous
Les pores de leurs peaux
Si tel est leur souhait qu'il soit exaucé
Sur le champ leur sort réglé
Sur ce champ où l'herbe rougit
En n'importe quelle saison j'aurais
Raison de leur folie par le verbe ou
Les nerfs l'esprit ou la chair
La Garde et ses guerriers de pierre La
Garde pour seul cri de guerre
À moi la Garde! Forge l'esprit au combat
À moi la Garde! Porte la
Hargne à bout de bras
À moi la Garde! Sabre au clair
Défend nos terres
Déjoue les pièges des hautes sphères