Sopico - J'passe paroles de (lyrics)
[Sopico - J'passe paroles de lyrics]
Qui charbonnent sur une ligne droite
Pas rêver d'vivre ça et tous ceux
Qui sont libres le savent
J'vais pas faire de beaux discours au
Pupitre sans même qu'ils me croient
Pour qu'mes yeux s'remplissent de larmes
Faut qu'j'fume un demi kil de wax
J'connais la douleur d'aérer la rage
Mais j'fuis l'destin des vendus
Si j'cannais
J'me marierais à l'amour du fruit défendu
(Combien) n'savent que manier la
Hache? Tout d'suite, amenez la-moi
Animé par l'vice
Détendu au point d'sacrifier ta femme
Pas de peine, jamais d'remord, ça le fait
Si l'état d'âme est une fin en soi
Ça te fait quoi de perdre la vie?
L'arme blesse, l'humain fera le reste
La ville pourrit lentement, suffit
Qu'tu baisses la vitre, c'est ça le thème
Loin des bandit's, des grands duc
Les entités s'enfument
Faire la maille sans pièce d'identité
Pas sans gifler ton cul
Faire du rap c'est compliqué quand tu
Veux ton titre et ton dû branche le radar
Tant d'rapaces pourraient très bien
T'piquer ton truc
Air de blues dans la tête, j'passe
Hey ride et milite
Qui ne joue jamais ne perd pas
Nan, j'en ai marre de lui dire
Imagine être ailleurs ou dans l'espace
Han, nan j'n'ai pas de limite
Pourquoi tu t'en vas si moi je reste là?
Nan, faut qu'je parte d'ici (parte)
J'fume de vraies weeds, c'est génial
Évite les vermines et l'sheitan
Fleur de OG, honey, s'ils me blessent j'sais
Qu'Hakim les effacent
Air Max aux pieds, c'est baisé pour eux
J'élargis les écarts
Demande à M le Maudit, l'homie
Paix à Majin Vegeta
Freestyleur avéré d'Paris
Ma biche j'fuck la place de l'Ital'
Les rues d'ma ville s'activent la nuit
Cravent-bi d'la E à Stalingrad
Qui t'a dit qu'tu devrais payer
L'tarif? Frappe ces deux gars
Des Beretta vides et trentenaires tout
Bourrés voulant serrer ta fille
J'sais pas si ailleurs c'est pire
J'suis dans l'courant laissez-moi venir
J'vesqui l'boomerang et sédatifs
Nique les gourmands, léchez ma bite
Bientôt c'est mon heure, c'est dit
J'vais blesser la rime, plus que quiconque
C'est vrai, toutes les lignes sont sévères
J'suis ce mec pour qui comptent ses frères
Mais les tournants créent des rapides
Quand les douleurs s'étirent
J'me fais scénariste de mes péchés
Que tout l'monde s'épie
Jamais lassé d'marcher, lassé d'le répéter
Jamais assez d'avis
Forcé d'admettre que j'vais écrire sans
M'soucier d'y passer la nuit
Air de blues dans la tête, j'passe
Hey ride et milite
Qui ne joue jamais ne perd pas
Nan, j'en ai marre de lui dire
Imagine être ailleurs ou dans l'espace
Han, nan j'n'ai pas de limite
Pourquoi tu t'en vas si moi je reste là?
Nan, faut qu'je parte d'ici