Sully, Chaman - Cette nuit je bluffe paroles de (lyrics)
[Sully, Chaman - Cette nuit je bluffe paroles de lyrics]
J'attends un message, j'attends du réseau
Rien à partager, rien à signaler
Mes enfants seront meilleurs
Au fond du décor, pendant des heures
Cerveau en crise, landeau sans vie
En dessous, le vide, tôt ou tard on vrille
Comme un papillon dans l'eau du bassin
Enterre les traditions dans le fond du jardin
Elle a du mal à être
Elle a du mal à l'avaler
Toute ma haine dans un soupir
Tout mon love dans un sourire
J'coffre mes sentiments dans
Une chambre forte
Ton corps inanimé dans une chambre noire
Y a pas d'espoir
Il y a des textos
Putain, que des feuilles mortes
J'connais les méchants, j'connais les gentils
Entre les deux, qui m'a menti?
Qui m'a menti?
L'ennui, ça irrite, et la nuit m'rend timide
J'prends l'air réfléchi dans un
Labyrinthe de rues
Pour trouver un sens à nos vies
À nos vies satiriques
Donc je lutte avec ironie face
À cette ville endormie
Des fantômes de soucis
La flemme jamais citée comme motif
Critique pas l'industrie avec autant de
Sperme dans la bouche
Cent mètres crawl, sous la foudre
Cicatrice sur le dos
S'mélange peu à la foule
Traîne dans ma chambre ma came
Ma pyramide, mon bendo, mon château
Les années, ça passe vite, ça passe
Ça passe vite
La fumée s'attrape pas, moi non plus
Bien trop d'absents, d'abcès, d'excès
Cent grammes dans les WC, aucun message
J'suis vexé
Les mots d'amour s'envolent par le velux
Un tour du monde en velib
Pour pas aller trop vite, le danger
Ça m'excite j'irai tout en haut
(hah, hah, hah)
Un tableau avec ton rouge à lèvres
Tes bras réchauffent le soleil
Des fait's divers, toute l'année, l'amour
La haine vont de paire
Mes passions, valent leurs baises
L'hiver avant l'été, j'fume avant d'la voir
La pluie avant l'orage l'amour
Rien à partager, rien à signaler
Mes enfants seront meilleurs
Au fond du décor, pendant des heures
Cerveau en crise, landeau sans vie
En dessous, le vide, tôt ou tard on vrille
Comme un papillon dans l'eau du bassin
Enterre les traditions dans le fond du jardin
Elle a du mal à être
Elle a du mal à l'avaler
Toute ma haine dans un soupir
Tout mon love dans un sourire
J'coffre mes sentiments dans
Une chambre forte
Ton corps inanimé dans une chambre noire
Y a pas d'espoir
Il y a des textos
Putain, que des feuilles mortes
J'connais les méchants, j'connais les gentils
Entre les deux, qui m'a menti?
Qui m'a menti?
L'ennui, ça irrite, et la nuit m'rend timide
J'prends l'air réfléchi dans un
Labyrinthe de rues
Pour trouver un sens à nos vies
À nos vies satiriques
Donc je lutte avec ironie face
À cette ville endormie
Des fantômes de soucis
La flemme jamais citée comme motif
Critique pas l'industrie avec autant de
Sperme dans la bouche
Cent mètres crawl, sous la foudre
Cicatrice sur le dos
S'mélange peu à la foule
Traîne dans ma chambre ma came
Ma pyramide, mon bendo, mon château
Les années, ça passe vite, ça passe
Ça passe vite
La fumée s'attrape pas, moi non plus
Bien trop d'absents, d'abcès, d'excès
Cent grammes dans les WC, aucun message
J'suis vexé
Les mots d'amour s'envolent par le velux
Un tour du monde en velib
Pour pas aller trop vite, le danger
Ça m'excite j'irai tout en haut
(hah, hah, hah)
Un tableau avec ton rouge à lèvres
Tes bras réchauffent le soleil
Des fait's divers, toute l'année, l'amour
La haine vont de paire
Mes passions, valent leurs baises
L'hiver avant l'été, j'fume avant d'la voir
La pluie avant l'orage l'amour