Triptik - Si un jour... paroles de (lyrics)
[Triptik - Si un jour... paroles de lyrics]
Hip-hop si un jour tu devais me saouler
Si un jour tu devais me couler
Me fouler aux pieds, me rouler dans la boue
Me freiner comme un boulet ou me blackbouler
Je ne pense pas que je me rangerais
Je pense plutôt que je me vengerais
J'ai plus de jus qu’une orangeraie
Et j'ai l'impression de dormir tant je rêve
Je chante pour le Nord, pour le Sud
Pour l'Est, pour l'Ouest, de Metz à Brest
De Lille à Aix, j'mets mon île avec
C'est pour ça que j'ai bravé les pluies
L'averse ca vient d'en bas, du bas niveau
Ce qui équivaut au caniveau
Tu te dis "qui c'est celui-là
Qu'est-ce qu'il vaut?"
Mais ne t'inquiètes pas
J'ai c'qu'il faut!
Dans ce style je n'ai pas de rivaux
Les médisants hostiles que
J'épate rient jaune
Je n'veux ni le piston ni l'aumône
Je n'suis ni môme, ni homo
Au cas où tu dis le mot
Non! ne me laisse pas ou
Alors au mollet j'te mords
T'as voulu m'achever quand
J'étais presque mort
Je vois des chiens dans la course
Mais je reste au bord
J'ai jamais réclamé l'impossible ni
Le disque d'or!
Tu m'as laissé dans de beaux draps
Dans de beaux tissus colmate les fissures
Tu dois me promettre une issue
Fructifie le don don't on a tous hérité
Même si la vie nous pousse à ripper
Avant la chute je veux la postérité
Qu'importe la peine, ni les canettes ni les
Tartes ne m'atteignent
Compte-moi parmi les tiens à moins
Que le hip-hop s'éteigne
Si un jour tu devais me saouler
Si un jour tu devais me couler
Si un jour tu devais me saouler
Si un jour tu devais me couler
Si un jour tu devais me saouler
Je tafferais grave mais j'lâcherais pas
Si un jour tu devais me couler
Je tafferais grave mais j'lâcherais pas
Si un jour tu devais me couler
Me fouler aux pieds, me rouler dans la boue
Me freiner comme un boulet ou me blackbouler
Je ne pense pas que je me rangerais
Je pense plutôt que je me vengerais
J'ai plus de jus qu’une orangeraie
Et j'ai l'impression de dormir tant je rêve
Je chante pour le Nord, pour le Sud
Pour l'Est, pour l'Ouest, de Metz à Brest
De Lille à Aix, j'mets mon île avec
C'est pour ça que j'ai bravé les pluies
L'averse ca vient d'en bas, du bas niveau
Ce qui équivaut au caniveau
Tu te dis "qui c'est celui-là
Qu'est-ce qu'il vaut?"
Mais ne t'inquiètes pas
J'ai c'qu'il faut!
Dans ce style je n'ai pas de rivaux
Les médisants hostiles que
J'épate rient jaune
Je n'veux ni le piston ni l'aumône
Je n'suis ni môme, ni homo
Au cas où tu dis le mot
Non! ne me laisse pas ou
Alors au mollet j'te mords
T'as voulu m'achever quand
J'étais presque mort
Je vois des chiens dans la course
Mais je reste au bord
J'ai jamais réclamé l'impossible ni
Le disque d'or!
Tu m'as laissé dans de beaux draps
Dans de beaux tissus colmate les fissures
Tu dois me promettre une issue
Fructifie le don don't on a tous hérité
Même si la vie nous pousse à ripper
Avant la chute je veux la postérité
Qu'importe la peine, ni les canettes ni les
Tartes ne m'atteignent
Compte-moi parmi les tiens à moins
Que le hip-hop s'éteigne
Si un jour tu devais me saouler
Si un jour tu devais me couler
Si un jour tu devais me saouler
Si un jour tu devais me couler
Si un jour tu devais me saouler
Je tafferais grave mais j'lâcherais pas
Si un jour tu devais me couler
Je tafferais grave mais j'lâcherais pas