Tryo - Mourir la mort paroles de (lyrics)
[Tryo - Mourir la mort paroles de lyrics]
Mourir sans pourtant mourir
Mourir éternellement le désespoir tue encore
Sinon la vie, mourir la mort
Ma désespérance, mon manque d'espoir
C'est ma révérence, c'est le désespoir
Un battement d'oeil, juste un cillement
Papillon en deuil, éternellement
Au nom de la vie, l'infirmière sourit
L'homme et l'au-delà choisiront pour moi
Le droit à la vie, même à l'agonie
Plutôt le trépas, que la mort de soi
Mourir sans pourtant mourir
Mourir éternellement le désespoir tue encore
Sinon la vie, mourir la mort
Dépendant de raison, du plus raisonnable
Une bouchée de moi, au plus charitable
Tenu par un fil, privé de mon choix
Mon battement de cil, ne suffira pas
Et la mort se farde, l'infirmière regarde
Ils diront peut-être, tués par ses gardes
Et dépossédé de soi-même ensemble
C'est la liberté qui résiste à l'homme
Mourir sans pourtant mourir
Mourir éternellement le désespoir tue encore
Sinon la vie, mourir la mort
À mourir amer, à mourir de rien
La mort à l'envers, me va même en vain
A ne pouvoir mourir, son dernier regard
Les yeux de ma mère, c'est le désespoir
Mourir éternellement le désespoir tue encore
Sinon la vie, mourir la mort
Ma désespérance, mon manque d'espoir
C'est ma révérence, c'est le désespoir
Un battement d'oeil, juste un cillement
Papillon en deuil, éternellement
Au nom de la vie, l'infirmière sourit
L'homme et l'au-delà choisiront pour moi
Le droit à la vie, même à l'agonie
Plutôt le trépas, que la mort de soi
Mourir sans pourtant mourir
Mourir éternellement le désespoir tue encore
Sinon la vie, mourir la mort
Dépendant de raison, du plus raisonnable
Une bouchée de moi, au plus charitable
Tenu par un fil, privé de mon choix
Mon battement de cil, ne suffira pas
Et la mort se farde, l'infirmière regarde
Ils diront peut-être, tués par ses gardes
Et dépossédé de soi-même ensemble
C'est la liberté qui résiste à l'homme
Mourir sans pourtant mourir
Mourir éternellement le désespoir tue encore
Sinon la vie, mourir la mort
À mourir amer, à mourir de rien
La mort à l'envers, me va même en vain
A ne pouvoir mourir, son dernier regard
Les yeux de ma mère, c'est le désespoir