Vald - Lune paroles de (lyrics)
[Vald - Lune paroles de lyrics]
Le seum
Quand tes gars sûrs t’évitent
La foule
Pour vesqui les dégats, suce des bites
J’suis morose ces temps-ci
Défensif et tranquille sans pitié
J’vois des gens sanglants qui s’en vantent
D’autres faisant semblant d’s'impliquer
Mes cent mille soucis remplissent mon
Temps libre mes talents languissent
Mais vas-y facile d’mimer l’bon
Faciès depuis qu’j'ai grandi
T’es fasciné j’suis fatigué j’sais
Pas si c’est
Symbole de charité les deps sur
Onde pour l’respect d’la parité
Nez fariné
J’ai pas d’idée pour la morale frelon
J’suis narguilé
Chaque soir chacun sa voie
Certains s'font plastiquer
Mais qu’est-ce t’en penses? C’est
Blessant nan? Mes descendants
Meurent devant des vidéos de toxicos
Qui baisent en bande
Les passants pensent que j’fais la
Gueule que j’suis pas sympa
Mais qu’ils s’en souviennent
Longtemps y’a qu’cet
Instant ou j’fais pas semblant
L’étape s’enclenche
Ma vie noircit au fil
Des taffs qu’j'engrange
Des tartes j’en mange donc j’baise l’inconnu
Comme les taxes en France
Tapes en 5
Pour les frappes sans manches
Les tass enceintes
Les cartes en main je rap en
Vain le cul dans l’501
Mes histoires d’amour n’ont pas d’début
Non pas de dessein
Je feins je fuis je feins le fin
Du fin j’fais des histoires sans fin
C’est dérisoire frangin si j’suis
Débile à temps plein
Moi le territoire j’m'en branle
C’est comme les pillaves sans demain
Ouais, y’a qu’la mélodie d’ton triste sort
Qu’immobilise le soir
Toi et ton égoïsme soit
Donc viens pas m’voir si tu délaisses
Tes remps ou perds tes repères
Ouais re-fré pépère… tant qu’tu remplis
La caisse de retraite
Mais alors quoi tes parents doivent
Crier a t’en croire
Tu crois qu’t'es au-che mais des ptits cons
Y’en a des milliers avant toi
Mais alors quoi tes parents doivent
Crier a t’en croire
Tu crois qu’t'es au-che mais des ptits cons
Y’en a des milliers avant toi
J’dégaine un seize sévère
Avec un air précaire
J’ai des airs d’Osiris le
Phallus en l’air bétér
L’MC d’l'enfer s’élève
J’péra t’en perds tes lettres
Ray Charles en perd ses
Verres Michel Collon persévère
Comme un voyeur j’matte les cul
D’jatte en dèche de guêtres
Les gens sincères…enfin qu’ont
L’air de l’être
Les cons s’insèrent dans les
Converses de mes compères
À découvert
Comme si parler d’chattes à
Cœur ouvert c’était normal
Israël s’torche le cul avec la morale
J’ai honte de parler d’drame en
Nike AirMax et Kaporal hein
Arrête j’ai pas l’temps pour
Faire un personnage
J’préfère fantasmer sur mes
Politiciens cleptomanes
Imaginer finir sans leur partie pectorale
J’ai rien contre Dieu mais j’me
Touchais pendant la pastorale
Quand j’suis fonce-dé j’vois des arcs-en-ciel
Quand les chattes s’en mêlent
Laisse-moi faire la gueule j’t'ai d’jà
Dit j’ai pas l’temps d’plaire
J’rappe sans thème
Baisse la tête quand les blarfs t’engrainent
L’âme en paix Grand Theft Anal a
Fond quand les dars' s’absentaient
Tu sens qu’ça blague pas
Partouze des morceaux d’barbaks
Tu jettes des fleurs quand tu
Comprends ap façon Pakpak
T’façon j’finis seul avec ma bite
Dans l’pire du pire
J’envoie l’même bonne nuit pour tout l’monde
J’fais pas dans l'peer to peer