VII - H.P. Lovecraft Théorie paroles de (lyrics)
[VII - H.P. Lovecraft Théorie paroles de lyrics]
Les vérités du monde enfouies
Dans nos cauchemars
Panthéon maléfique dans des contrées puantes
Des créatures rampantes sortiront
De leurs cryptes
Cornues, décharnées, aux ailes membraneuses
La peur vertigineuse des corps désincarnés
Elles arrivent par légions
Portées par la houle
Par-delà les régions gardées par des goules
Les prophéties malsaines de
Ces cartomanciennes
Me saisissent et m’entraînent avec
Leurs griffes obscènes
Des prêtres lubriques dans
Des cloîtres italiens
Des cadavres jetés dans le puit's des païens
Sorcières et magiciens serviront Yog-Sothoth
Sur les seuils de Salem c'est
La frayeur qui rode
L'ignominie passée sera redécouverte
Comme des doigts décharnés dans
Des fractures ouvertes
Sous l’œil de Cthulhu tu ne pèseras pas lourd
À la tombée du jour leurs
Dieux te rendront fou
C'est Dagon suspendu à son lourd monolithe
Et le grimoire secret de Miskatonic
Les couloirs de l'horreur la
Peur jusqu'à l'aurore
Sachez que n'est pas mort ce
Qui à jamais dort les rues sans couleurs de
La vieille Providence
Agonies et douleurs feront leurs confidences
Innsmouth est maudite
Les nuit's sont éprouvantes
Poussé vers la folie face à tant d'épouvante
Se brûler la cervelle quand
Les frissons t'accablent
Un cercueil sur mesure dans
Les jardins d'Arkham
Le nécronomicon contenait des formules
Grâce auxquelles on communiquait
Avec les forces suprêmes des
Dieux antiques cthulhu
Yog-Soggoth joseph Curwen tentait d'unir ces
Démons aux humains et créer
Une nouvelle race que les dieux
Utiliseraient à leurs fins
Sortis des profondeurs, monstres céphalopodes
Le mal prend de l'ampleur comme
Chez Charles Dexter Ward
Tu perdras le sommeil comme ta santé mentale
Les grands anciens ramènent
La terreur ancestrale
Au coeur des ténèbres, ne plus chuchoter
C'est avec cruauté qu'ils
T'arrachent les vertèbres
Incertaine est l'issue, sombre est le tableau
Il sera bientôt l'heure des
Violeurs de tombeaux
Des peuples des mers qui
Émergent en grand nombre
Des chimères difformes qui se
Tapissent dans l'ombre
Entité dangereuse dans les abimes du temps
Les imprudents vivront des
Angoisses douloureuses
Des habitants venus des océans obscurs
Et c'est Joseph Curwen qui
T'observe en peinture
Les dieux venus d'antan n'ont rien de clément
Dans le grimoire sanglant de cet arabe dément
Des sanglots permanents d'affolantes création
Mèneront la race humaine
Jusqu'à sa destruction
Esclave de la morphine, mémoire maladive
L'oubli ou la mort, l'unique alternative
Les couloirs de l'horreur la
Peur jusqu'à l'aurore
Sachez que n'est pas mort ce
Qui à jamais dort les rues sans couleurs de
La vieille Providence
Agonies et douleurs feront leurs confidences
Innsmouth est maudite
Les nuit's sont éprouvantes
Poussé vers la folie face à tant d'épouvante
Se brûler la cervelle quand
Les frissons t'accablent
Un cercueil sur mesure dans
Les jardins d'Arkham