VII - Si douce, si perverse paroles de (lyrics)

[VII - Si douce, si perverse paroles de lyrics]

Il est venu répandre la terreur
Et les femmes sans
Pudeur paieront de leur vie tous leurs péchés

L'écho de ta douleur résonne entre ces murs
Une scène mortifère à travers la serrure
Un escalier obscur, l'ombre de tes cauchemars
Tu vois venir la mort dans
Les yeux d'un chat noir
Une odeur de brûlure, mon regard sur ta nuque
Je te scrute comme un
Oiseau de mauvaise augure
Je m'abats sur toi, je lacère ta trachée
Ton sang absorbé par ta robe arrachée
Ton plumage de cristal terni par mon sadisme
Mon surin glacial perfore ton organisme
Je suis venu voir ce que ta poitrine renferme
Aucun échappatoire: les salopes vont en enfer
Une lame infernale, il va falloir courir
Une entaille de métal, étranglée par le cuir
Une angoisse hypnotique, une sombre torpeur
J'insinue dans leurs veines le
Venin de la peur les portes du mal se
Trouvent entre leurs cuisses
Je viens faire couler toutes
Les couleurs du vice je leur déchire le cou
Leurs péchés se déversent
Elles étaient si douces et
Pourtant si perverses

Entendre crisser mon poignard sur tes os
Pris entre les deux lames d'un immense ciseau
Un étrange attirail d'un voyage
En eaux troubles
Soudain tu t’étouffes quand ta
Peau se découpe en raison de tes mœurs tu
Passeras l'arme à gauche
C'est ta vertu perdue qui
S'écoule de ta gorge dans la fleur de l'âge
Je t'arrache les pétales
Le corps des salopes sur les bords du canal
Un maniaque en cavale, un violeur de cadavres
Comme dans Torso vois de quoi je suis capable
Une folie palpable, un magma de rage
La moiteur du cuir sur des yeux sans visage

Pris dans un tourbillon
De pulsions terrifiantes
Leur suffocation quand leurs
Yeux me tourmentent
Une sueur suave, un parfum d'orchidées
Toutes ces garces décédées dans
La stupeur le savent une lame dans la main
C'est une œuvre d'artiste
Aux ordres d'un chien comme David Berkowitz
La douleur s'introduit dans
Leur corps détraqué
Ton vice est une chambre don't
Moi seul est la clé
Un giallo d'Argento sur un air d'opéra
Je mutile et tronçonne le corps de Deborah
Je fonctionne comme un loup et
Si tu croises ma route
Tu verras comme c'est doux de
Pouvoir mourir en août

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