Wallen, Akhenaton - Mon rêve américain paroles de (lyrics)
[Wallen, Akhenaton - Mon rêve américain paroles de lyrics]
Souffle et qui fait revivre l'aigle
Car les plumes de ses ailes volent à nouveau
Au bout de mes tresses
Tout ce que je vois m'appartient
Et le respecte comme les anciens
J'ai la peau rouge comme cette terre qui me
Nourrit et me protège
Je n'échangerai jamais un seul
Atome de tout ça de toute façon
L'or n'a pas de valeur pour moi
La terre entière est un grand tipi
Je suis chez moi mais tu l'es aussi
Combien de lunes pour que tu le saisisses
Toi qui m'écoutes, soit mon frère
Combien de lunes, combien de lunes
Quand l'hiver approche
On lève le camp pour monter au nord
Le bison nous attend
Nous sommes ses hôtes depuis si longtemps
(depuis si longtemps)
Au grand galop sur mon cheval
L'heure est venue de se montrer brave
Dans ma course, je saisis mon arc
Je prend une flèche dans mon carquois
Le petit Indien est devenu grand
Et je rêve encore
Un jour j'irai plus vite que le vent
La terre entière est un grand tipi
Je suis chez moi mais tu l'es aussi
Combien de lunes pour que tu le saisisses
Toi qui m'écoutes, soit mon frère
Je t'invite à mon pow-wow
Je t'invite à mon pow-wow, suis-moi
C'est le vent de la plaine qui
Crie la nuit dans mon sommeil ce même vent
La complainte porte ses légendes
À nos oreilles
Chevauchant l'étalon noir j'traverse le
Pays désert des ancêtres
Qu'on observe le soir du promontoire
J'ressens c'bien-être, l'air qui m'enivre
Peut-être le fait, rare, d'être libre
En harmonie avec les éléments
Mon cœur vibre au son des rythmes
On naît, on meurt
On vit là où les hivers sont terribles
Où l'brisé affiche les trait's les plus doux
Mon arc sans carquois
Origine des trait's précis
Dessine mes vœux les plus fous
Éternel indécis ça paraît imbécile
Mais j'veux croire en l'espoir indicible
La paix, alors qu'sous la menace
La masse de valeureux guerriers diminue
Comme la neige à la saison XXX dissimule
Les nouvelles pousses l'étoile du
Nord est l'témoin
D'horreurs d'infâmies et d'crimes
Sous sa Bourse mais j'veux chanter ces rimes
Qu'elles percent l'océan et ses
Rives, tu nous hais, on t'invite
Voici l'calumet, allons l'fumer
Là où l'enfer du monde et
Ses brasiers sont allumés
La terre entière est un grand tipi
Je suis chez moi mais tu l'es aussi
Combien de lunes pour que tu le saisisses
Toi qui m'écoutes, soit mon frère