Bénabar - Monogame paroles de (lyrics)
[Bénabar - Monogame paroles de lyrics]
Tu n'as pas connu ce temps
J'aimais l'amour sous toutes ses flammes
J'aimais l'enfer pour ses tourments
En gros j'aimais les femmes
Pour qu'à tout prix je me sente vivre
Il me fallait de l'aventure
Un peu comme y'en a dans les livres
Des joies intenses et des fractures
Fallait toujours que ça change
Jupes fendues, chemises de nuit
A chaque conquêtе j'étais aux anges
Et puis très vite venait l'еnnui
Fallait tout le temps que ça éclabousse
J'voulais la pulpeuse et la liane
La brune, la blonde, la bleue, la rousse
Jusqu'au buste de Marianne
Et puis un jour, je suis devenu monogame
Depuis ce jour
Parce que tu es toutes les femmes
Tu es la fille, tu es la mère
Ma thérapeute, sa patiente
La cinglé, la guerrière
Le réconfort et la tourmente
Tu es la coupable et la juge
Les lions, le clown et le public
Tu es ma force centrifuge
Quand je tourne en rond dans mon cirque
Mon amoureuse amie
Je suis un bateau sur cale
Qui ferre l'âge de ses tsunamis
Un frêle esquif à l'escale
Jetée ta toile, l'est sublime
De ce Dieu qui n'existe pas
Sisyphe s'est jeté dans l’abime
Mais il remonte pas à pas
Et puis un jour, je suis devenu monogame
Depuis ce jour
Parce que tu es toutes les femmes
Et puis un jour, je suis devenu monogame
Depuis ce jour
Parce que tu es toutes les femmes
J'aimais l'amour sous toutes ses flammes
J'aimais l'enfer pour ses tourments
En gros j'aimais les femmes
Pour qu'à tout prix je me sente vivre
Il me fallait de l'aventure
Un peu comme y'en a dans les livres
Des joies intenses et des fractures
Fallait toujours que ça change
Jupes fendues, chemises de nuit
A chaque conquêtе j'étais aux anges
Et puis très vite venait l'еnnui
Fallait tout le temps que ça éclabousse
J'voulais la pulpeuse et la liane
La brune, la blonde, la bleue, la rousse
Jusqu'au buste de Marianne
Et puis un jour, je suis devenu monogame
Depuis ce jour
Parce que tu es toutes les femmes
Tu es la fille, tu es la mère
Ma thérapeute, sa patiente
La cinglé, la guerrière
Le réconfort et la tourmente
Tu es la coupable et la juge
Les lions, le clown et le public
Tu es ma force centrifuge
Quand je tourne en rond dans mon cirque
Mon amoureuse amie
Je suis un bateau sur cale
Qui ferre l'âge de ses tsunamis
Un frêle esquif à l'escale
Jetée ta toile, l'est sublime
De ce Dieu qui n'existe pas
Sisyphe s'est jeté dans l’abime
Mais il remonte pas à pas
Et puis un jour, je suis devenu monogame
Depuis ce jour
Parce que tu es toutes les femmes
Et puis un jour, je suis devenu monogame
Depuis ce jour
Parce que tu es toutes les femmes