Yelle - Florence en Italie paroles de (lyrics)
[Yelle - Florence en Italie paroles de lyrics]
De toute façon les guides c'est encombrant
Les romans trop longs j'prends la fuite
Je ne suivrais pas le sens de la visite
La lumière qui dansent
Sur les divines proportions d'un Apollon
Je fais vite cours aux milieu des vestiges
J'ai le vertige
À chaque tour de rue je suis éblouie
J'ai pris le train de nuit
Je n'ai pas beaucoup dormi les sens en éveil
Mes sens se réveillent
Accélèrent et s'amplifient
Les gens que je croise toujours élégants
Je sais que quand je parle
J'ai un léger accent les cyprès, l'argile
La grâce fragile
Des veines dans le marbre blanc
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Puis soudain elle m’envahit
Florence en Italie
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Ne m'aidez pas si je m’évanouis
Florence en Italie
Réconfort sorbet citron à la main
Rafraîchissant les trésors
Cachés au fond du jardin demandent du temps
Sous l'ombre portée d'un palazzo je m'abrite
Ma glace fond vite la splendeur
Est exigeante et parfois c'est épuisant
A chaque tour de rue je suis éblouie
J'ai pris le train de nuit
Je n'ai pas beaucoup dormi les sens en éveil
Mes sens se réveillent
Accélèrent et s'amplifient
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Puis soudain elle m’envahit
Florence en Italie
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Ne m'aidez pas si je m’évanouis
Florence en Italie
Ooh la la la, ooh la, ooh la la la, ooh la
Ooh la la la, ooh la
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Puis soudain elle m’envahit
Florence en Italie
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Ne m'aidez pas si je m’évanouis
Florence en Italie
Les romans trop longs j'prends la fuite
Je ne suivrais pas le sens de la visite
La lumière qui dansent
Sur les divines proportions d'un Apollon
Je fais vite cours aux milieu des vestiges
J'ai le vertige
À chaque tour de rue je suis éblouie
J'ai pris le train de nuit
Je n'ai pas beaucoup dormi les sens en éveil
Mes sens se réveillent
Accélèrent et s'amplifient
Les gens que je croise toujours élégants
Je sais que quand je parle
J'ai un léger accent les cyprès, l'argile
La grâce fragile
Des veines dans le marbre blanc
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Puis soudain elle m’envahit
Florence en Italie
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Ne m'aidez pas si je m’évanouis
Florence en Italie
Réconfort sorbet citron à la main
Rafraîchissant les trésors
Cachés au fond du jardin demandent du temps
Sous l'ombre portée d'un palazzo je m'abrite
Ma glace fond vite la splendeur
Est exigeante et parfois c'est épuisant
A chaque tour de rue je suis éblouie
J'ai pris le train de nuit
Je n'ai pas beaucoup dormi les sens en éveil
Mes sens se réveillent
Accélèrent et s'amplifient
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Puis soudain elle m’envahit
Florence en Italie
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Ne m'aidez pas si je m’évanouis
Florence en Italie
Ooh la la la, ooh la, ooh la la la, ooh la
Ooh la la la, ooh la
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Puis soudain elle m’envahit
Florence en Italie
Et j'ai la tête qui tourne
La beauté m'entoure
Ne m'aidez pas si je m’évanouis
Florence en Italie