Zifsi - Auburn paroles de (lyrics)
[Zifsi - Auburn paroles de lyrics]
Putain d’merde
ZIFSI putain d’merde posté sur la putain
D’septième putain d’colline
J’suis dans la ville, j’suis dans la city
J’suis dans mon élément
Marche d’un pas pressé entre
Les silhouettes citadines
Or sur les façades et la
Nuit brille comme à Midi
Opulence urbaine, un million pour un trône
City me séquestre et j’ai
Le Stockholm syndrome
Opportunités autant que d’chemins
Pour l’Enfer au bord du vide ils se
Laissent charmer par les flammes
Mirage dе conquête enclenchе les
Ferveurs et les vices
Armes automatiques vident les chargeurs
Sous tes vitres odeur de pétrole dans les
Sous-sols des gratte-ciels
Odeur de friture sur les
Trottoirs des artères
Transactions éclair à la lueur du smartphone
Foule compacte dans le tube
De plateforme en plateforme
Trop faim et voilà qu’tous les
Chiens s’prennent pour des loups
Toute une meute de fauves
Dans la voiture-bélier corps épuisés dans le
Tourbillon un rendez-vous
Toute une nuit de love et
Son bassin sur l’évier (haha)
Elle a les cheveux auburn dans le vent
Elle prend la Noche sur les
Hauteurs de la ville
Capitale brille, soleil de Midnight
Brise de l’été sur sa nuque délicate
(A ah) Loups et agneaux dans l’arène
City jamais ne dort jamais ne s’arrête
Eblouissant spectacle, incessant va-et-vient
Inconnue don't tu gardes
Jalousement le parfum et moi et moi et moi
J’fuis le silence j’cherche l’amour
De mon espèce
J’monte en puissance j’serai là
Pour des siècles sur la septième colline
J’regarde brûler l’Colysée, jungle m’a grisée
J’m’amourache d’une tigresse
Flash dans les ornières
Et j’aime Byzance d’une passion rancunière
Berline vitres opaques
La plaque est diplomatique
Armés sur la Honda, cavaliers de l’apocalypse
Touristes en hermine
Diamants bruts sur les bottines
Traînée par le sac, toxico veut sa toxine
Pied du monument
Se croisent vainqueurs et vaincus
Codes sont différents chaque fois
Qu’le jour s’incline
Charbonneurs et traders en bisbille
Devant la Banque
Ils ont la tête dans les chiffres et
Puis le pif dans la Blanche
Zéro têtes de réseaux dans
Ce fuckin’ rap game
Beckenbauer style et j’ai leur
Nuque sous ma s’melle
On est trop dans l’hall ces
Putains d’portes s’putain d’ferment
Tout c’putain d’monde a la
Putain d’dalle putain d’merde
Spotlights se reflètent et sur les
Lames et sur les screens
Sueur de la ville cherche la
Fraîcheur de la nuit
Suffoquent dans le tube mais ils
Y prennent du plaisir
Une nuit dans la fosse
Poudrière où tout scintille
Elle a les cheveux auburn dans le vent
Elle prend la Noche sur les
Hauteurs de la ville
Capitale brille, soleil de Midnight
Brise de l’été sur sa nuque délicate
(A ah) Loups et agneaux dans l’arène
City jamais ne dort jamais ne s’arrête
Eblouissant spectacle, incessant va-et-vient
Inconnue don't tu gardes
Jalousement le parfum et moi et moi et moi
J’fuis le silence j’cherche l’amour
De mon espèce
J’monte en puissance j’serai là
Pour des siècles sur la septième colline
J’regarde brûler l’Colysée, jungle m’a grisée
J’m’amourache d’une tigresse
Flash dans les ornières
Et j’aime Byzance d’une passion rancunière
(Marche d’un pas pressé entre
Les silhouettes citadines)
(Or sur les façades et la
Nuit brille comme à Midi)
(Opulence urbaine, un million pour un trône)
(City me séquestre et j’ai
Le Stockholm syndrome)
(Opportunités autant que d’chemins
Pour l’Enfer, Au bord du vide ils se
Laissent charmer par les flammes)
(Mirage de conquête enclenche les
Ferveurs et les vices, Armes automatiques)