Keny Arkana - Triste Monde paroles de (lyrics)

Tu sait j'ai peur
J'vois les murs se resserrer sans
Qu'on puisse rien y faire
Frère la vue de ce monde me fait serrer
Politicien construit son paradis au
Détriment du notre
L'oeil du menteur le trahis mais
Combien ont pris des notes?
Etat Keynésien: une dictature libérale! Ils
Nous ont demandés notre avis
On a dit non mais ils s'en tapent regarde
Monsieur le Président du conseil
Européen a blamé les
Référendum disant que les
Peuples comprennaient rien mais on a vu
Votre mascarade on est peu mais on l'as vue
Derrière votre jolie rétorique
Vos mains plein de sang par trop d'abus
Economie la chère excuse de
Vos nations puis l'esclavage
Du tiers monde que

Vous appelez mondialisation
Opression et coups de batons pour
Les miséreux des pays riches
De plus en plus de flics et de matons
Vente de privatisations venant du
Pays du Dollar ont
Privatisés les prisons pour
Buisenesser du Tollard
Prison: Plus besoin de preuves concretes
Pour y aller une
Simple écoute téléphonique suffit comme
Squatter une cage d'escalier
Dehors, les CRS campent à chaque
Rond-point et vu que les
CRS c'est l'armée mes idées n'se
Sentent pas trop bien
Des hommes dans un état second
Lorsqu'ils tapent dans la foule
Violences inhumaines quand l'homme
Robot devient fou et puis petit Sarko leur a
Donné ce plein droit "Eh
M'sieur l'CRS ou est l'émeute j'aimerais
Savoir pourquoi tes la?"
Le gouvernement place ses billes
Mais qui à cru la redouter si ce
N'est un futur Président dictateur alors
Quand petit Sarko sera grand les
Traitres lui mangent déja dans
La main et jvois mes frères et soeurs à cran
Et jpoense aux disparus de mon
Pays, droite libérale, radicale
Compte les morts pour leurs idées
Alors j'pense à l'exil
2007 le grand tournant mauvais
Préssentiment les gens ont
Peur dla liberté alors construisent
Leur propre prisons

Parlons de bonheur: on s'est fait
Tués par l'injections de modes
On te nourrit d'modèles et d'critères
Jetables drôle de monde
Matraquage, on gave les cerveaux
Esprit's prisonniers des medias et
D'leur messages subliminaux
Ils nous ont asfixiés, Eteint ta télé et vois
Le monde! Sors dehors et voit le monde
Sors dehors et voit le monde!
Ils nous ont divisés
On s'entretue dans la haine ca m'fait penser
Aux colons qui tracèrent
Les frontières Africaines
La famine est maintenue parait que c'est
Lucratif la faim sa rend esclave:
3 grains de riz pour 20
Heures de taf' en Asie
Vietnam, Irak l'industrie de
L'armement fait sa
Gentille promotion en tuant hommes
Femmes et enfants
Des ptites bombes par-ci par la
Ca relance l'économie pour reconstruire les
Investisseurs sont déja là
Ils vont pas se plaindre des
Quelques milliers de cadavres
Le sang des innocents en sacrifice pour
Honnorer le pacte avec le Diable!
Les colons parlent de Paix
Viennent chez toi et t'font
Construire leur piscine alors
Que toi ta famille meurt de soif

Sans parler des peuples entiers
Chassés de leur terre hommes femmes
Enfants abattus par des para-militaires
Des indigènes génocidés
Ou des réserves d'indiens des exterminations
Comme celles du peuple palestinien
Le monde regarde mais ne dit rien on
Ferme les yeux et le temps
Passe dans une prison à ciel ouvert
Normal que la folie t'embrase
Siècle de névrosés
Comment vivre sans se perdre si
Tu parle un peu trop fort un peu trop vrai
Des balles te transpercent!
Abus de surveillance leur yeux
Et oreilles sont partout
Big Brother ressemble à un grand marabou
La rage qui m'anime est grande!
Comme leur vérité qui abdique
Leur machines à fréquences vibratoires
Ou leurs centres climatiques
Solidarité, quand la force de
La nature rapplique wesh
Par moi y'a l'équivalent d'un
Tsunami en afrique

Quand l'Amérique du Sud est révoltée
Voudrait s'émanciper de Washington "ZLEA"
Va t'faire niquer! Le tiers monde ligoté
Par tout ces accords et traités gouvernement
De traitres collaborant avec leurs idées
Idées de domination les esclaves
Et les bourreaux
L'opprimé et l'oppresseur sa tourne en rond!
Ils tueraient leurs propres gosses pour de
L'eau ou du pétrole les
Peuples sont en colère ne veulent
Plus de tout ces conquistadors