DJ Lumi, Keroué, Waltmann, Georgio - Au jour le jour paroles de (lyrics)
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[DJ Lumi, Keroué, Waltmann, Georgio - Au jour le jour paroles de lyrics]
C'est rare que j'dise à mes
Potes qu'on a grandi ensemble
Entre la folie, l'asphalte
Mon cœur se transforme en boule de feu
L'incendie s'en va
Quand j'traverse Paris en sang
L'habit fait pas l'moine mais aucun métro
S’arrête à la cour d'honneur
Mon époque te méprise vite et j'ai
Grise mine car c'est rare qu'on me félicite
Plus proche du milieu carcéral
Que sortir un récit d'rimes, aucun récital
J'me donne pas en spectacle
À part quand j'suis bourré il est si tard
Mes doutes reviennent et pour de vrai
Faut que j'me déshydrate
On hésitera à s'confier
À dire qu'on veut amour et eau fraîche
Vous avez déjà parlé d'espoir, allez-y
Laissez-moi
Vu que la routine a foulé nos rêves
On s'appelle "mon frère" puis on
S'traite de fils de pute
Génération freestyle
Abrège tes textes avant que file le bus
Imbus d'ma personne
Tous les 6 mois je dis: "S'il te plaît
Merci de m'avoir écouté"
Même si je t’intéresse pas comme des
Dirhams pour une fille de l'est
Un bilan d'ma vie
Juste ma perception des choses
J'lâcherai rien
Tant que j'aurais la bénédiction d'mes soces
C'est drôle, tout va vite autour de nous
J'veux vivre au jour le jour
En attendant l'abolition de mes fautes
L'envie de dépasser les normes
Époque tragique
Mes potes s'animent, s'rassemblent
Pas l'temps pour une ébauche facile
Les gens évoluent j'pense au temps révolu
Quand l'argent laisse aucune chance
Pourtant j'ai pas l'souvenir
D'une fausse manip'
J'trace droit, pas d'calcul
Les gens hochent la tête
Pas de fausse maquette, de prose mal faite
Tant que le réseau s'anime
Aux aguets depuis longtemps
On sens que ça change
L'agencement de nos destins
Crée de fortes carences et dans c'bas monde
Constamment en action
En symbiose avec la prod'
Un collage et sa chope
L'approche des grand parents
En 40 quand les lois était bafouées
Nous on se promène tard
Car c'est ça l'poème des gars désavoués
J'vois l'étoile solaire briller au loin
J'ai grillé vos feintes
Refoulant les mesures draconienne
On s’accommode
Passe collègue si t'aimes pas le ceau-mor
Les assonances font que tes gars connaissent
Pas de romances mélange le Jack et l'Rhum
Il y a des choix et des souhait's
À n'pas réaliser ou essayer d'entreprendre
Autant scénariser, l'encre prends
Sèche sur la feuille et rêve
Je n'ai que faire de ton budget
Si tu perds, de tous, t'es la risée
Ouvre le sol avant que
Les parois ne s'effritent
Et que les poufs te manquent
À court de sujets de conversation
Coupe le sample, mes louves le sentent
Et les bouts d'cendres s'empilent
Insurgé, secondaire action et shoote ce plan
Qu'ils foutent le camp et
Qu'ils souffrent ces cancres
Voilà qu'il sourit "Qui l'a
Permis?", "C'est lui, on l'étouffe"
C'est ouf ne pense pas à
Te contenter de si peu
Pour les ous' ce cancre
Du gel c'est qu'à mesure on s'découvre
Ça m'soule que les vendus ne
Soient pas pendu en public
Mais c'est un coup à perdre
Une bonne majorité d'ses potes
Si tu pètes plus haut que ton cul
C'est que t'es pourri jusqu’à l'os
Alors mets-toi a l'aise
Saute de la falaise que
Tu nourrisses les porcs
Potes qu'on a grandi ensemble
Entre la folie, l'asphalte
Mon cœur se transforme en boule de feu
L'incendie s'en va
Quand j'traverse Paris en sang
L'habit fait pas l'moine mais aucun métro
S’arrête à la cour d'honneur
Mon époque te méprise vite et j'ai
Grise mine car c'est rare qu'on me félicite
Plus proche du milieu carcéral
Que sortir un récit d'rimes, aucun récital
J'me donne pas en spectacle
À part quand j'suis bourré il est si tard
Mes doutes reviennent et pour de vrai
Faut que j'me déshydrate
On hésitera à s'confier
À dire qu'on veut amour et eau fraîche
Vous avez déjà parlé d'espoir, allez-y
Laissez-moi
Vu que la routine a foulé nos rêves
On s'appelle "mon frère" puis on
S'traite de fils de pute
Génération freestyle
Abrège tes textes avant que file le bus
Imbus d'ma personne
Tous les 6 mois je dis: "S'il te plaît
Merci de m'avoir écouté"
Même si je t’intéresse pas comme des
Dirhams pour une fille de l'est
Un bilan d'ma vie
Juste ma perception des choses
J'lâcherai rien
Tant que j'aurais la bénédiction d'mes soces
C'est drôle, tout va vite autour de nous
J'veux vivre au jour le jour
En attendant l'abolition de mes fautes
L'envie de dépasser les normes
Époque tragique
Mes potes s'animent, s'rassemblent
Pas l'temps pour une ébauche facile
Les gens évoluent j'pense au temps révolu
Quand l'argent laisse aucune chance
Pourtant j'ai pas l'souvenir
D'une fausse manip'
J'trace droit, pas d'calcul
Les gens hochent la tête
Pas de fausse maquette, de prose mal faite
Tant que le réseau s'anime
Aux aguets depuis longtemps
On sens que ça change
L'agencement de nos destins
Crée de fortes carences et dans c'bas monde
Constamment en action
En symbiose avec la prod'
Un collage et sa chope
L'approche des grand parents
En 40 quand les lois était bafouées
Nous on se promène tard
Car c'est ça l'poème des gars désavoués
J'vois l'étoile solaire briller au loin
J'ai grillé vos feintes
Refoulant les mesures draconienne
On s’accommode
Passe collègue si t'aimes pas le ceau-mor
Les assonances font que tes gars connaissent
Pas de romances mélange le Jack et l'Rhum
Il y a des choix et des souhait's
À n'pas réaliser ou essayer d'entreprendre
Autant scénariser, l'encre prends
Sèche sur la feuille et rêve
Je n'ai que faire de ton budget
Si tu perds, de tous, t'es la risée
Ouvre le sol avant que
Les parois ne s'effritent
Et que les poufs te manquent
À court de sujets de conversation
Coupe le sample, mes louves le sentent
Et les bouts d'cendres s'empilent
Insurgé, secondaire action et shoote ce plan
Qu'ils foutent le camp et
Qu'ils souffrent ces cancres
Voilà qu'il sourit "Qui l'a
Permis?", "C'est lui, on l'étouffe"
C'est ouf ne pense pas à
Te contenter de si peu
Pour les ous' ce cancre
Du gel c'est qu'à mesure on s'découvre
Ça m'soule que les vendus ne
Soient pas pendu en public
Mais c'est un coup à perdre
Une bonne majorité d'ses potes
Si tu pètes plus haut que ton cul
C'est que t'es pourri jusqu’à l'os
Alors mets-toi a l'aise
Saute de la falaise que
Tu nourrisses les porcs