Exodarap - Premiers mots paroles de (lyrics)
[Exodarap - Premiers mots paroles de lyrics]
Seuls les mots sont de tailles
Pour contrer chaque problème
Chaque système a ses failles, ses valeurs
Ses emblèmes
Je brandis mon enseigne pour l'amour
Pour un peu plus de charité
Pour que la paix revienne un jour
Contrer la haine qui dans
Nos cœurs s'accentue
Ils ont créés un monde sans valeurs
Sans vertus
Sans espoirs, sans passions, sans rêves
Non, ce n'est pas à l'usine
Que le cycle s'achève
Voir au delà L'être humain doté de la raison
Impossible à raisonner quand tu lui
Parles en millions d'euros
Erroné depuis le début
Notre vision du monde peu à peu me dégoutte
Mais sois sûr que sous le feu se cache l'eau
Autant que notre haine se
Résume en quelques mots
Paradoxe, quand vient le temps du paradoxe
D'ordinaire, je dois trouver les mots justes
Si tu dors frangin
Je sortirai les mots brusques
À en faire trembler les murs
Pour réveiller le guerrier
Pour indiquer au fauve la sortie du terrier
Suis-moi dans la jungle, rejoins ma tribu
Quitte ce monde infernal où
Les hommes s’entre tuent
Mon dictionnaire est rempli de munitions
Alors reste tranquille et laisse
Tourner le son
Je chante ces mots pour couvrir mes blessures
Ne sous-estime pas les vertus
De ma littérature
Pas de demi-mesures pour contrer la menace
(la menace)
Mes mots se placent là où la haine est tenace
Ils m'escortent
À chaque épreuve son paragraphe
Vingt-et-unième chapitre
Trop de fautes d'orthographes
Et si mes mots s'énervent, libère le passage
Car j'ai choisi les plus forts
Pour porter le message
Les mots me portent
Me supportent mais peu m'importe
Quand les porcs m'apportent que le
Rap qui leur rapporte
Message d'espoir, bouteille à l'océan
Industrie musical, monopole à nos dépens
Je mets des mots sur nos maux
Je pète la forme, trop de fond dans mon flow
Faut se débrouiller seul
Comptez que sur soi-même
J'me fous de percer
J'veux bosser à l'ancienne
L'humani', compter tous mes démons
Avec des mots
Suis-je maudit? Agité du bocal comme Némo
Ne me parle pas pour ne rien dire
Comme ta politique
On ne se soumet pas à leurs lois économiques
Ils spéculent en bourse, veulent nous castrer
J'ai les boules
Capital cannibale bientôt t'auras le blues
Car les mots sont des armes
La balle dans ton camp sèche tes larmes
Paradoxe, quand vient le temps du paradoxe
Paroxisme du paradoxe
Pour contrer chaque problème
Chaque système a ses failles, ses valeurs
Ses emblèmes
Je brandis mon enseigne pour l'amour
Pour un peu plus de charité
Pour que la paix revienne un jour
Contrer la haine qui dans
Nos cœurs s'accentue
Ils ont créés un monde sans valeurs
Sans vertus
Sans espoirs, sans passions, sans rêves
Non, ce n'est pas à l'usine
Que le cycle s'achève
Voir au delà L'être humain doté de la raison
Impossible à raisonner quand tu lui
Parles en millions d'euros
Erroné depuis le début
Notre vision du monde peu à peu me dégoutte
Mais sois sûr que sous le feu se cache l'eau
Autant que notre haine se
Résume en quelques mots
Paradoxe, quand vient le temps du paradoxe
D'ordinaire, je dois trouver les mots justes
Si tu dors frangin
Je sortirai les mots brusques
À en faire trembler les murs
Pour réveiller le guerrier
Pour indiquer au fauve la sortie du terrier
Suis-moi dans la jungle, rejoins ma tribu
Quitte ce monde infernal où
Les hommes s’entre tuent
Mon dictionnaire est rempli de munitions
Alors reste tranquille et laisse
Tourner le son
Je chante ces mots pour couvrir mes blessures
Ne sous-estime pas les vertus
De ma littérature
Pas de demi-mesures pour contrer la menace
(la menace)
Mes mots se placent là où la haine est tenace
Ils m'escortent
À chaque épreuve son paragraphe
Vingt-et-unième chapitre
Trop de fautes d'orthographes
Et si mes mots s'énervent, libère le passage
Car j'ai choisi les plus forts
Pour porter le message
Les mots me portent
Me supportent mais peu m'importe
Quand les porcs m'apportent que le
Rap qui leur rapporte
Message d'espoir, bouteille à l'océan
Industrie musical, monopole à nos dépens
Je mets des mots sur nos maux
Je pète la forme, trop de fond dans mon flow
Faut se débrouiller seul
Comptez que sur soi-même
J'me fous de percer
J'veux bosser à l'ancienne
L'humani', compter tous mes démons
Avec des mots
Suis-je maudit? Agité du bocal comme Némo
Ne me parle pas pour ne rien dire
Comme ta politique
On ne se soumet pas à leurs lois économiques
Ils spéculent en bourse, veulent nous castrer
J'ai les boules
Capital cannibale bientôt t'auras le blues
Car les mots sont des armes
La balle dans ton camp sèche tes larmes
Paradoxe, quand vient le temps du paradoxe
Paroxisme du paradoxe