Gianni - 4 grammes (Sens de la vie) songtext (lyrics)
[Gianni - 4 grammes Sens de la vie songtext lyrics]
Du me-gra au kilo
J'écris mes peines des larmes de mon stylo
J’ai gardé le silence
Pourquoi le chemin est si long?
Des ailes ont brûlées on s'est soulés
On était soudés on était soudés
Mais l'amitié fini par rouiller
On était plein maintenant on est peu
On a trainé ensemble mais je toucherais tes
C’est plus pareil
Aujourd'hui tu me porte l'œil
J'déclare ma flamme près d'un baril
Le 12ème jour d'un mois d'Avril
J'finirais en état d’ivresse
J’ai l'âme en péril bambino à vélo
Pendant que son grand re-fré se fait ver le
All black dans l’auto pour ceux
D'en face on devient fêlés
On vit tous les jours ce que
Tu vois à la télé
Fais tourner le joint dans le
Parking on est calé oh mama, oh mama
Ton fiston a fait de la moula
Mais y'a des choses que j'te dirais pas
Faut pas t’inquiéter
Les tombes se remplissent en été
Alors j'fume, j'bois j'fume, j'bois
La mort me rappelle le sens de la vie
J'reste qu'avec les sang de la veine
J'tai dis qu'j'ai quitté l'navire
Et qu'j'ai pris les vrais avec
Moi, les épreuves ont fait trembler ma foi
Si c'était à refaire je
Le referais mille fois
Remplir les pochetards, la sacoche
S'faire discret quand on nous filoche
Casser des naseaux
Un de moins à chaque saison
Non, non on ne regrette rien
On sait très bien ceux qui
Ont touché nos mains
J'écris mes peines des larmes de mon stylo
J’ai gardé le silence
Pourquoi le chemin est si long?
Des ailes ont brûlées on s'est soulés
On était soudés on était soudés
Mais l'amitié fini par rouiller
On était plein maintenant on est peu
On a trainé ensemble mais je toucherais tes
C’est plus pareil
Aujourd'hui tu me porte l'œil
J'déclare ma flamme près d'un baril
Le 12ème jour d'un mois d'Avril
J'finirais en état d’ivresse
J’ai l'âme en péril bambino à vélo
Pendant que son grand re-fré se fait ver le
All black dans l’auto pour ceux
D'en face on devient fêlés
On vit tous les jours ce que
Tu vois à la télé
Fais tourner le joint dans le
Parking on est calé oh mama, oh mama
Ton fiston a fait de la moula
Mais y'a des choses que j'te dirais pas
Faut pas t’inquiéter
Les tombes se remplissent en été
Alors j'fume, j'bois j'fume, j'bois
La mort me rappelle le sens de la vie
J'reste qu'avec les sang de la veine
J'tai dis qu'j'ai quitté l'navire
Et qu'j'ai pris les vrais avec
Moi, les épreuves ont fait trembler ma foi
Si c'était à refaire je
Le referais mille fois
Remplir les pochetards, la sacoche
S'faire discret quand on nous filoche
Casser des naseaux
Un de moins à chaque saison
Non, non on ne regrette rien
On sait très bien ceux qui
Ont touché nos mains