IV My People, Salif - C'est chaud paroles de (lyrics)
[IV My People, Salif - C'est chaud paroles de lyrics]
Paraît qu'j'y suis arrivé tard
Mais j'y ai pris c'qu'y avait à prendre
J'ai compris ce qu'il fallait comprendre
C'est qu'tu passes pas toute ta vie à vendre
Et même si t'y arrives l’État
Viendra prendre sa part
Qu'il t'le saisisse ou qu'il t'le prenne
Ton gent-ar il t'le rendra pas
Il t'observe, te laisse faire
Te photographie toi tu kiffes ta race
Fais ton ness-bi
C'est comme jouer au loto gratuit
Puis arrive ce jour où le procureur
Va s'lancer sur ton cas
Et c'jour là ses premiers mots s'ront
"Tu vas tout balancer sur ton gars"
Et c'est là, ouais là qu'tu distingues
Les vrais potes des vrais putes
Qui s'basent sur la réput'
Premier sorti du poste tu t'la racontes
Mais t'as chié une merde d'vant des pe-stu
À cause de toi des mecs s'sont fait pper-sto
Possible qu'les autres d'ici peu t'tuer
Parce qu'ici comme ailleurs on
Accepte pas les caves-pou
Les mecs qu'avouent après une baffe
Ou un coup d'pression
Ils caftent tout donc bzahtou
Si tu balances pas pour les potes à l'ombre
Sinon n'oublie pas qu'c'est chaud quand t'as
Pas su tenir ta langue
Ouais c'est chaud, ouais c'est chaud
Quand t'as pas su tenir ta langue
C'est chaud, ouais chaud
Quand t'as poucave un gars d'ta bande
C'est chaud, ouais c'est chaud
Quand t'as pas su tenir ta langue
Donc qui dit keuf dit proc et GAV
Moi j'ai pas bénéficié des faveurs que
Tous les p'tit's protégés avaient
Comme tout l'monde tu n'verras ton
Avocat qu'au bout d'vingt heures
Mais 'vec le commis d'office
Y'a beaucoup d'vaincus et
Pas beaucoup d'vainqueurs
Et t'inquiète avant tout ça
Y'a eu les merdes, les perquises
L'air triste sur ton visage lorsque
Mère et père crisent
Eux persistent faut faire régner la
Loi et nous y veillons
On casse tout et alors mec
C'est pas nous qui payons
On m'a dit qu'ils avaient l'pouvoir
Mais j'en étais pas conscient
Toujours confiant
Mais c'est l'jour où ils tapent
À la porte qu'on l'sent
Parce que là ils péteront
Tout en toute impunité
Penseront qu'à tout niquer
Y'aura pas d’îlotiers ou d'simples unités
C's'ra ces bâtards
Ces fils de pute qui foutent
Le cafard aux ens-g
Qu'ont un treillis en guise de fute
Et s'foutent le brassard orange
On dérange mais en fait c'est ni
D'la poisse ni d'la chance
C'est qu'notre vie s'résume en
Une seule phrase c'est: "Nique la France"
Ouais c'est chaud, ouais c'est chaud
Quand t'as pas su tenir ta langue
C'est chaud, ouais chaud
Quand t'as poucave un gars d'ta bande
C'est chaud, ouais c'est chaud
Quand t'as pas su tenir ta langue
Mais j'y ai pris c'qu'y avait à prendre
J'ai compris ce qu'il fallait comprendre
C'est qu'tu passes pas toute ta vie à vendre
Et même si t'y arrives l’État
Viendra prendre sa part
Qu'il t'le saisisse ou qu'il t'le prenne
Ton gent-ar il t'le rendra pas
Il t'observe, te laisse faire
Te photographie toi tu kiffes ta race
Fais ton ness-bi
C'est comme jouer au loto gratuit
Puis arrive ce jour où le procureur
Va s'lancer sur ton cas
Et c'jour là ses premiers mots s'ront
"Tu vas tout balancer sur ton gars"
Et c'est là, ouais là qu'tu distingues
Les vrais potes des vrais putes
Qui s'basent sur la réput'
Premier sorti du poste tu t'la racontes
Mais t'as chié une merde d'vant des pe-stu
À cause de toi des mecs s'sont fait pper-sto
Possible qu'les autres d'ici peu t'tuer
Parce qu'ici comme ailleurs on
Accepte pas les caves-pou
Les mecs qu'avouent après une baffe
Ou un coup d'pression
Ils caftent tout donc bzahtou
Si tu balances pas pour les potes à l'ombre
Sinon n'oublie pas qu'c'est chaud quand t'as
Pas su tenir ta langue
Ouais c'est chaud, ouais c'est chaud
Quand t'as pas su tenir ta langue
C'est chaud, ouais chaud
Quand t'as poucave un gars d'ta bande
C'est chaud, ouais c'est chaud
Quand t'as pas su tenir ta langue
Donc qui dit keuf dit proc et GAV
Moi j'ai pas bénéficié des faveurs que
Tous les p'tit's protégés avaient
Comme tout l'monde tu n'verras ton
Avocat qu'au bout d'vingt heures
Mais 'vec le commis d'office
Y'a beaucoup d'vaincus et
Pas beaucoup d'vainqueurs
Et t'inquiète avant tout ça
Y'a eu les merdes, les perquises
L'air triste sur ton visage lorsque
Mère et père crisent
Eux persistent faut faire régner la
Loi et nous y veillons
On casse tout et alors mec
C'est pas nous qui payons
On m'a dit qu'ils avaient l'pouvoir
Mais j'en étais pas conscient
Toujours confiant
Mais c'est l'jour où ils tapent
À la porte qu'on l'sent
Parce que là ils péteront
Tout en toute impunité
Penseront qu'à tout niquer
Y'aura pas d’îlotiers ou d'simples unités
C's'ra ces bâtards
Ces fils de pute qui foutent
Le cafard aux ens-g
Qu'ont un treillis en guise de fute
Et s'foutent le brassard orange
On dérange mais en fait c'est ni
D'la poisse ni d'la chance
C'est qu'notre vie s'résume en
Une seule phrase c'est: "Nique la France"
Ouais c'est chaud, ouais c'est chaud
Quand t'as pas su tenir ta langue
C'est chaud, ouais chaud
Quand t'as poucave un gars d'ta bande
C'est chaud, ouais c'est chaud
Quand t'as pas su tenir ta langue