Lalcko - Salive Street paroles de (lyrics)

[Lalcko - Salive Street paroles de lyrics]

Je suis de l’époque où ceux
Qui ne savent pas déblatèrent t’as vu
La salive des hommes pue
Même le silence s’est tu
Ceux qui savent ne disent plus t’as vu
Amis ennemis ça fait longtemps
Que j’étais à l’école
J’ai l’impression que ça s’écrit pareil
Si tu ne peux pas m'arranger
Il ne faut pas me déranger

Trahir pour trahir

Demande à Wallah les dollars ce
N’étaient pas notre Jehovah
Mais quand j’en avais dans mon
Putain de Teddy Old River
J’avais envie de dire à cette
Putain de live…I love ya
Ça voulait dire de nouvelles Tim
Boots et des blue jeans


Vas-y mets tes Nike Air on bouge
Bon avant passe la Heinekken que je touche
Ça c’était les the 90's
Années où j’ai gouté à la vibe du
Disque plus tard au mind du biz
Aux tailles du vice et aux
Girls ces bêtes de naïves
Celles qui peuvent piper même baiser
Pour un blunt de mporo
Deviennent sorcière comme Piper et Prue
Eh yo c’est donc très tôt que j’ai
Appris à foncer comme un taureau
L’esprit de Bolo Yeung dans un
Morning live version ghetto life
Je parlais de conscience nègre sur
Mes copies de philo
Mon stylo pour écrire la souffrance entassée
Dans vos yeux par kilo
Je ne dormais plus me réveillais saoûl avec
La facilité de dire je m’en fous
J’ai voulu me ranger mais négro
La rue ne t’apprend pas le créneau
Puis vînt l’heure de la no school school
Trop de race pour crier au secours je coule
En parlant de moi ils ont commencé à
Dire il traîne il casse il ment
Il vendrait sa mère pour un jean ample
Certains avaient le cœur noir
Comme …je t’exempte d’exemples
A cette étape difficile de faire la
Différence entre la voix du sage
Et la langue de serpent
J’ai parfois été trop radical pour
Qu’on ne m’appelle pas l’allemand
Voila pourquoi la chaleur de
Mon regard s’étouffe
Dans la glace de mon visage
J’ai eu l’âge où on est un
Renard de surface comme Rummenigge
Attendu au lycée mais dans la
Rue à cabine téléphoniquer
Revendre des Telefunken unis comme
Smith & Wesson
Mes alliés et moi parlions déjà de spreche
Tu te rappelles
La langue des grosses Mercedes
Finis le stress et la monotonie
T’as vu ces darling les berlines
Et toutes ces Breiltling
On avait compris que la
Rue n’était qu’un Monopoly
J’ai rêvé du monopole de Tony l’ai
Porté seul comme une mono folie
Les nègres m’appellent tellement d’idées
Que beaucoup d’argent
Il faut croire que ma mère faisait dans
La création de richesse en m’enfantant
Jusque là tout allait mortel jusqu’à ce que
Mon 6e sens m’appelle mais bordel
Chuchoterait-on sur ma tête?
"Et mais Lalcko il se prend pour
Qui à vouloir jouer les chefs
La vie de ma mère je serre sa meuf oh
T’as vu son tarpé"
Les frères sont devenus faux comme
3+4 font 9 et nerveux
Quand tu cernais leur bluff
J’allais me faire trahir je voyais ça
Venir gros comme une maison d’arrêt
Il fallait que je saigne leur teuch
Ça n’a pas tardé ça a
Parlé batardé pataté et ballafré
Est-ce que je regrette? yo c’est louche!
Parfois je perçois le bien et le
Mal comme deux nuances du rouge
Qui ose me juger et dire
Que j’ai une sale vie
Je connais ma famille et mes amis
C’est pas ceux qui veulent que je
Boive quand ils crachent par terre
Espèce de fils de 4 putes par mère

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