Laurie Darmon - Monte encore paroles de (lyrics)
[Laurie Darmon - Monte encore paroles de lyrics]
J'fais ma peste
Je touche, je te retouche, tu me couches
J'aime ta bouche je crie et tu écris "tes
Mots gris sont ma vie"
J'expire et tu inspires mes soupirs
Tes désirs
Au coin d'une rue, j'me suis
Perdue telle une chienne, je me démène
Pour m'en sortir, te voir languir
Au coin du feu, me ferai jouir
C'est désarmant
Ce calme fou que tu prétends garder à bout
À bout de forces, je
M'efforce, tu me regardes, sale bête féroce
Je goûte, je te dégoûte et tu
Observes tomber les gouttes de mes yeux
De mes yeux bleus qui pleurent
À cause de tes aveux je pars, on se sépare
Mais tu t'empares de mon tu le sers fort, je
Te dévore, tu l'détériores, j'en veux encore
C'est si mal, c'est si sale, ce que tu fais
Ce que j'défais
Tu me ramasses, j'suis pleine de crasse
Je suis une garce et toi t'es lasse
T'es l'as de pique un peu
Sadique qui revendique la contre-éthique
Les masques tombe et je succombe
Nos deux cœurs sombres s'élèvent dans l'ombre
Monte, monte encore, j'aime quand tu mords
J'aime quand t'explore
Mouille, mouille encore
Mes lèvres asséchées par tes baisers
Crispe, crispe encore, tes
Doigts qui tremblent, les murs de la chambre
Fonce, enfonce encore ton délicieux
Venin dans mes reins
Ose, ose encore
Crier très fort après l'effort
Vient le réconfort
J'te détacherai, j'te la rendrai, ta liberté
Mais sculpte encore, ausculte
Encore, excite encore, simule encore
Décompte encore trois coups de
Fouet, de souffle coupé, un cœur à corps
Un cœur à corps
Je saigne et tu m'enseignes
Que dans ce monde, je n'suis pas reine
Je griffe, tu me dégrafes
Toutes les gaffes mérite une baffe
Je souffle et tu t'essouffles
Je suis la foule que tu refoules
J'te traque, tu me détraques
J'suis prise en flag dans ton cul-de-sac
Il faisait nuit, tout est permis
On s'est tout dit, on s'est pourri
C'est sans paroles que tu consoles mes
Jambes molles qui te violent
Tu le caresses, je suis maîtresse, toi
T'es l'élève qui me dresse
Pourtant, la table est déjà mise
Mais tes cerises sont exquises
Je range, tu me déranges, vengeance étrange
Merci mon ange je veux renaître et tu
Pénètres dans mon mal-être
Sale petit traitre je nie et tu me punis
Quand l'insomnie te pique au lit
J'assume, tu me consumes
Je n'suis qu'une plume dans le bitume
Quand vient la fin, c'est le
Déclin, tu m'as poussé, je suis tombée
La chute est belle, sagement cruelle
Honteuse querelle de deux rebelles
Plein de brûlure, pleins d'écorchures
Ils sont impurs, mais ils vécurent
Vécurent heureux, vécurent à deux
Parle au présent, j'faisais semblant
Monte, monte encore, j'aime quand tu mords
J'aime quand t'explore
Mouille, mouille encore
Mes lèvres asséchées par tes baisers
Crispe, crispe encore, tes
Doigts qui tremblent, les murs de la chambre
Fonce, enfonce encore ton délicieux
Venin dans mes reins
Ose, ose encore
Crier très fort après l'effort
Vient le réconfort
J'te détacherai, j'te la rendrai, ta liberté
Mais sculpte encore, ausculte
Encore, excite encore, simule encore
Décompte encore trois coups de
Fouet, de souffle coupé, un cœur à corps
Un cœur à corps