Marksmaan - Melodia paroles de (lyrics)
[Marksmaan - Melodia paroles de lyrics]
On est repartit
Melodia, Basket nocturne, J'appréhende
8769 km, observation, Liberté de Conscience
Juste envie d'se vider la
Tête, Interlude Orage, sous les
Éclairs, Tonnerre, Toi, moi
Lui, Carte Grise, j'en dirai pas
Plus, Si faible, etet al
Rediv es'd eivne etsuj, vu de ma Chambre
Des nuit's noires exaltantes
Que dans ces moments qu'je berce Satan
Dans mon verre ça tangue
Entouré d'amis, pendant des vacances
Conscience épatante
Bien trop longtemps qu'j'en parle
Comme une entité à part entière
Il suffit que je la désactive
Et c'est sympa l'enfer
J'tourne en rond sur un carrelage carré
J'emboite mon futur je dois m'alarmer
Ça ne va pas mais 1000 streams à ça près
Au moment où j'écris ces phases
Peur de sombrer dans les griffes des femmes
J'demeure aigri des fois
Demeure est grise et froide
Peu importe sa valeur monétaire
La conscience la transforme si facilement
C'est pour cela qu'il ne
Faut jamais oser perdre
Je la manie habilement tout sauf fatiguant
Ma conscience abritant, attristant, assistant
À la fin du monde et à sa mise en place
Ces sadiques semblables
J'éradique tant d'mal mécanique s'enflamme
C'est rapide dans l'cas
Où j'décide de l'atténuer
Pour laisser place à la technique
Saleté d'pitre, ça s'excite
Pas d'étique ni d'étiquettes collées sur moi
Un oiseau s'est posé sur moi
Pour me dire de faire attention à
Ceux qui vont causer sur moi
Continuer le rap peut être pas mais
Écrire des textes c'est sûr, moi:
Il est temps d's'endormir
La puissance de cette nuit j'en profite
Tant de travail pourtant sans profit
Des pensées s'envolent oui
Je suis censé m'renforcer
Chaque titre: un moment
Un souvenir vécu ou observé
À vous de desseller ma Nouvelle Dimension
Melodia, Basket nocturne, J'appréhende
8769 km, observation, Liberté de Conscience
Juste envie d'se vider la
Tête, Interlude Orage, sous les
Éclairs, Tonnerre, Toi, moi
Lui, Carte Grise, j'en dirai pas
Plus, Si faible, etet al
Rediv es'd eivne etsuj, vu de ma Chambre
Des nuit's noires exaltantes
Que dans ces moments qu'je berce Satan
Dans mon verre ça tangue
Entouré d'amis, pendant des vacances
Conscience épatante
Bien trop longtemps qu'j'en parle
Comme une entité à part entière
Il suffit que je la désactive
Et c'est sympa l'enfer
J'tourne en rond sur un carrelage carré
J'emboite mon futur je dois m'alarmer
Ça ne va pas mais 1000 streams à ça près
Au moment où j'écris ces phases
Peur de sombrer dans les griffes des femmes
J'demeure aigri des fois
Demeure est grise et froide
Peu importe sa valeur monétaire
La conscience la transforme si facilement
C'est pour cela qu'il ne
Faut jamais oser perdre
Je la manie habilement tout sauf fatiguant
Ma conscience abritant, attristant, assistant
À la fin du monde et à sa mise en place
Ces sadiques semblables
J'éradique tant d'mal mécanique s'enflamme
C'est rapide dans l'cas
Où j'décide de l'atténuer
Pour laisser place à la technique
Saleté d'pitre, ça s'excite
Pas d'étique ni d'étiquettes collées sur moi
Un oiseau s'est posé sur moi
Pour me dire de faire attention à
Ceux qui vont causer sur moi
Continuer le rap peut être pas mais
Écrire des textes c'est sûr, moi:
Il est temps d's'endormir
La puissance de cette nuit j'en profite
Tant de travail pourtant sans profit
Des pensées s'envolent oui
Je suis censé m'renforcer
Chaque titre: un moment
Un souvenir vécu ou observé
À vous de desseller ma Nouvelle Dimension