Marksmaan - Société de Merde, pt.2 paroles de (lyrics)

"Les gens ont peurs maintenant d'argumenter
D'oser donner leur avis, oser confronter
Oser écouter justement la version différente
De l'autre et ça justement
L'on reste enfermé dans ses
Propres aprioris et on
Va jamais les confronter avec
L'autre par contre…"

On est dans un monde où
S'faire écouter c'est si rare
On dit qu'on fait tout pour l'avenir
On vеrra c'qu'il décidera
Pour ouvrir les portes dе la logique
Il faut comme une clé miracle
Dans un monde où parler d'vérité
C'est bien plus que délicat

Vie rythmée par fausse préoccupations
Entre mensonges et lavage de cerveau
De la morale faut faire une vraie occultation


C'est pas à cause de nous
Mais la faute de l'état
J'observe le carnage des autres
(lavage de cerveau)
Toute cette merde se répercutant
Sur notre société
Accepter des aberrations humaines
C'est leur procédé
Tout ces progressistes veulent mal progresser
Ou procréer alors qu'entre hommes
Parce que suivre
Sa nature pour eux c'est trop péché

Leur conscience faudrait repéché
Et dire qu'un tiers des
Français sont bien anti-flics
Les caillasser sans limite
Cette merde s'amplifie vision fenêtrée
Avec mes valeurs je vois enfin que
C'est là que la peur était

Si seulement c'était fini malheureusement
Ça ne l'est pas
L'humain ne vote plus et c'est
Le même qui se plains
De nos jours ça me fait mal de
Dire que y'a plus d'filles biens
Je sais qu'y'en a mais le seul
Problème c'est qu'on les entends pas

Tout ça pour dire que le mal
Prend bien trop de place
Les bons se calment et les faux se captent
Pour certains anarchie rime avec solution
Si triste de voir qu'on
Est l'antithèse de l'évolution

On dégrade notre culture et dit
Qu'c'est ça la nouvelle au fond de moi
Ouais j'pense que c'est ça l'problème
L'impression qu'on me dit: "dégage on t'aime"
On parle de fierté mais pas celle du pays
Après on s'étonne qu'à Marseille tu faiblis
Violenté par des gens
Beaucoup trop susceptibles et dire
Qu'on nous dira qu'il faut fuir ces villes
La vrai solution c'est faire partir ces
Kystes parce que l'avenir c'est vide
"cette inversion de valeurs: au lieu d'être
Dans un pays de liberté d'expression
On est dans un pays où au nom de la
Liberté d'expression on vous dit
De vous taire"

Dans un monde où ne pas
Travailler et faire des
Gosses par milliers rapporte plus
Qu'un bon salaire
Au loin si proche j'peux déjà
Entendre les sombres averses
On peut même pas dire qu'il font la merde
Car rien branler d'la journée, excuse-moi
C'est le son d'la flemme

Il suffit de se bouger le
Cul et d'arrêter d'se plaindre
Si j'aimais pas mon pays crois-moi
J'le fuirai d'ce pas
Respectez ceux qui défendent notre France
Car eux se battent
Contrairement à toi qui fait rien
Attends l'œuf de Pâques

Eh gros, c'est pas ça la vie
Le travail paye, pas le cataclysme
Joues pas au fataliste
À faire le mec désespéré qui colle
Les aides comme la Patafix

Des drapeaux tricolores j'en vois
Que pour le sport
Je sais très bien que certains s'ils en
Voient ça leur fout le mort
Mais comme ici tout ce corse
On s'attarde sur les mauvais trucs
Et oublie les gens qui
Ont la main sur s'qui a sous le torse

Ecoute, c'est bien plus qu'un simple titre
Ceux qui travaillent honnêtement
Devrait culpabiliser du
Fait qu'ils s'cassent le bide
Mort aux gens qui ont
Fait qu'les meufs seules
Dans la rue ont peurs et marchent vite
Et c'est même pas ça le pire
Un petit message à ceux qui violent
Faut vous mettre dans la tête que
C'est pire que deux crimes gores
On fait rien et on sait très bien
Qui les font c'est ça l'problème
Bienvenue dans Les Plaines d'Asphodèle

Malheureusement la religion prend bien
Trop de place
Multitude de gens font honte à ceux
Qui pratiquent dans le calme
J'ai rien contre elles mais quand
J'vois qu'on tue au nom
D'elles j'me dis que là il faut qu'j'me casse

Juste arrêtez d'rabattre la faute sur
Nos forces de l'ordre déjà qu'ils ont aucun
Leur passion pour la France
Enfermé dans un coffre-fort
Mal payés et suicidaires
Subissent violence comme en l'an 200
Faut juste que la peur change de camp

À se demander qui contrôle ce pays
Le pire c'est que ces gogoles se plaignent
Un monde où être trop bon se paye
Et foutre la merde devient gratuit
Même récompensé car les médias
Nous divertissent avec
Des gens qui font qu'se ressembler

Dans un monde où c'est impossible
D'être heureux sans blé

Récolté par nos agriculteurs
Les victimes de la société
Personne pense à eux
On préfère s'intéresser à ceux
Qui sentent la beuh
Où les états et la population
Les étranglent à deux

"Tu peux écouter, réfléchir, juger
Et le côté, la façon de vouloir
Faire taire l'autre est devenue extrêmement
Banale plus d'débats, plus d'discutions
Plus d'arguments"