O.P.A.K. - Plus jamais ça paroles de (lyrics)

Il y a tellement d’événements qu’on
N’aimerait plus jamais voir
Tant de châtiments hideux qui plongent
Des vies dans le noir
L’histoire est truffée d’atrocités
En tout genre de meurtres et de sang qui
Me retourne le ventre plus jamais
Je ne veux entendre parler de génocide
De massacre
De racisme ou d’un simple homicide
Plus jamais
Je ne veux observer des armées se déployer
Avec comme unique intérêt l’or
Noir qu’elles désirent s’octroyer
Plus jamais je ne veux
Voir l’équivalent d’Hiroshima
Les ouragans comme Katerina
Bouleversant le climat
Plus jamais je ne veux que
Soit impuni un assassinat
Surtout quand c’est un GI
Qui tue dans l’anonymat, boy
Plus jamais je ne veux revivre ce
Que j’ai vécu le 11 septembre
Ces images d’apocalypse qui m’ont
Torturé dans ma chambre
Plus jamais je ne veux entendre
Résonner le bruit des bombes
Je sais que tout ça est utopique
Et c’est bien ça le comble

Les attentats de Madrid et de Londres
Plus jamais ça
De peuples entiers dans extermination
Plus jamais ça
La pédo-sexualité dans ce monde
Plus jamais ça
Plus jamais ça, plus jamais ça
Les continents rongés par la faim
Plus jamais ça
L’Apartheid et la ségrégation, plus jamais ça
Entrer en guerre pour une religion
Plus jamais ça
On sait que c’est perdu d’avance mais
On ne veut plus jamais ça

J’pourrais plus tomber en larmes ou
M’effondrer pour une séparation
Et puis sombrer en dépression
En perdant son apparition
Envoyer péter ma meuf parce qu’elle
S’est tapé mon pote
Et après taper mon pote parce
Qu’il a pété ma meuf
Y’a rien de neuf, plus de salopes infidèles
Plus de putes caractérielles
Je me fous d’elles
Certaines ont su voler dans
Mes quelques économies
Pour aller taper d’la coke
Dans mon dos une sodomie parlant d’elles
Je ne voudrais plus laisser un tas d’amis
Pour rester en face à face
Jusque tard la nuit
Donc tu la dépose en tass
Tu lâches plus la lune
L’air posé après chaque taff
Mais ça pue l’alu
Y’en a marre de perdre des proches
Surtout quand c’est pas leur heure
Là où il faudrait qu’il l’affiche
Mais à croire qu’ils n’ont pas l’horaire
Partagé entre trop d’erreurs
Beau-père est dans ma colère
Elle a levé la voix sur ma mie
Et la main sur ma mère

Marre de voir les larmes
Causées par l’ignorance humaine
Visage noyé sous les tracas
Sourire faciale cachant la peine
Une haine barbare m’a pris ce soir
Entre 19 et 20 heures
Le JT avant les Simpson
Pure et simple horreur
Le mal de ventre me reprend
Quand j’pense Wel Odlfield
Gare à toi petit, la vie se perd trop vite
Ne rêve pas de vivre, vis donc tes rêves
Oh, bidon t’es raide, brise donc tes chaines
Comment comprendre ces bastions
Soit disant révolutionnaires
Tuant des innocent allant jusqu’à
Violer des mères merde, ça m’touche au plus
Profond de ma personne
Comme ces femmes anorexiques ou boulimiques
Vomissant dans leurs chiottes
J’veux plus voir l’amour m’bouffer
Détruire mon avenir
Désir de voir la paix envahir la
Planète où mon fils va grandir
Plus s’faire avoir sans l’savoir
Prévoir l’coup
Le business pèse gros, j’perds 14000 euros
Cassage de bail
Tout le monde s’est bien retourné
J’veux plus entendre de la bouche d’un
Proche: "Tu t’es fait baiser"
Entendre ma femme me mentir sur ses aventures
Grisé d’apprendre qu’elle s’est fait
Retourner par une raclure

Ma famille et ses mensonges de merde
Plus jamais ça
Manquer de respect à son père ou sa mère
Plus jamais ça
La dépression qui me bouffe les nerfs
Plus jamais ça
Plus jamais ça, plus jamais ça
S’enfermer seul, torturé par sa peine
Plus jamais ça
Se contenter d’un euro par semaine
Plus jamais ça
À se faire frapper par un virus mortelle
Plus jamais ça
On sait que c’est perdu d’avance mais
On ne veut plus jamais ça

Je ne veux plus jamais me
Faire trahir par un soss’
C’est naïf et sincère mais
Peut-être bien trop
Ça, j’m’en souviendrais, vrai
J’n’oublierais pas les marques
Qu’ils te laissent
Un plan en traitre ou une nympho
Je ne veux plus qu’on me parle de race
Il est plus que temps que
L’on pratique une table rase
Qu’on se tourne vers le partage
Le gouffre sera fatal
FN ou le Vlaams Belang
Qu’on étouffe ces batards
Il faut se passer le mot
J’abattrais un homme si je le
Vois draguer un môme
Cette époque, je la supporte mal
Ça m’étonnerait pas de me faire
Trouer le corps de balle
Parce que je ne veux plus qu’on me la ferme
Je parle de ce que j’ai vécu et tous
Les trucs que j’ai dans la tête
J’en avais marre d’en avoir de dure
C’est pas la peine
On m’verra jamais recevoir des
Patates à la chaine

Plus jamais ça plus jamais ça
Plus jamais ça plus jamais ça
Plus jamais ça plus jamais ça

On sait que c’est perdu d’avance mais
On ne veut plus jamais ça