Ouhhz, Nekfeu, Meassane - Plus d'espoir paroles de (lyrics)
Nekfeu [Ken Samaras] La Trinité, France 🇫🇷
[Ouhhz, Nekfeu, Meassane - Plus d'espoir paroles de lyrics]
Ouhhz
Tout consiste dans les placements
Donc nous on subsiste en étant absents
Peu d'utopistes, beaucoup d'autistes
Fixés sur les mêmes topics
Et peu d'dépassement
Pures, On prône le changement
Mais les gens sont durs sur les murs
Au crom' pas d'Mercurochrome
Besoin d'pansements d'un lancement
Mais on n'a pas d'base
De plus, y a plus d'place
Et peu d'enlacements
Dans cette masse jamais j'ressens
Mais j'me d'mande à qui j'ressemble
Honnêtement sur la piste c'est la crise
Ca m'rend triste comme cette pluie d'décembre
Plus j'descends
J'glisse et fais des prises de risque
J'augmente comme le prix d'l'essence
Tout est vide de sens
J'te la coupe comme Jacques Dessange
Quand on allume la mèche
On finit dans une flaque de sang
Donc j'me braque tout l'temps
J'remarque plus c'qu'il y a d'touchant
La vie devrait être belle
Vu qu'elle est courte
Comme un soleil couchant et pas
Comme celle d'où j'chante
J'crois qu'on est perdu
J'crois qu'on n'a jamais été là
Tu vois pas comme on s'entretue
Et on n'va pas s'arrêter là
Y a peu d'nuances à croire qu'on ne fait que
Paumés entre bien et mal
Du mal à bien s't'enir en gros l'errance
Chaque jour on gagne en force
Ce qu'on perd en tolérance
On sert des causes étranges
On dérange comme un XXX placés sur le té-cô
Nos rêves sont jetés comme un mégot
Méassane si la vie est une peinture
Sache que cette art m'atterre
Qu'est ce t'attend que j'ai pas d'balles j'ai
Dû poser mon arme à terre
Mec c'est pas d'bol
Rêvant des bons cotés mais
Boycottés réalisant que
Les poings fusaient comme des pattes folles
Fallait pas d'failles certains m'disaient
Pas d'filles pas d'vrilles
Mais si fallait vraiment pas
D'vie j'étais pas d'taille
J'avais le choix de rester bon
Ou de devenir accro, ladre
Ce fut bref voyant les
Coups remplacer les accolades
Je sais c'est gore
C'était à nous de cesser or
Le vice est d'or et on
A préféré user ses normes
Ca c'est énorme man
Plus solitaire que solidaire et on a
Tous préféré croire que c'était normal
J'avoue avoir été ému par plein
De gens de pleins d'sens
Ca m'a touché j'ai gagné des
Rires mais perdu plein d'sang
Avec de nombreuses doses de joie et
De douleur que tu mêles
La vie est rayonnante
Comme cette lumière au bout du tunnel
Nekfeu rien ne me retient sur la Terre
Ce soir à part l'espoir d'apercevoir
La fine membrane qui m'entrave XXX il
Faut qu'j' perce le voile
Le rap me rend distrait j'en ai
Perdu le goût des études
À force d'enregistrer on se rend
Compte qu'écouter c'est dur et j'suis seul
Seul avec ma haine et mes pensées malsaines
Blême une pièce de théâtre vaine où j'cache
Ma peine quand c'est ma scène
Une existence anesthésiée par le
Poids de l'habitude
Parle moi de la vie dure
D'mes textes qui tant d'années s'taisaient
Que je renais sans fin et quitte ce
Morne automne dans ce relais sans fin
Je veux rouler sans freins
Enfin j'évite le monotone
Et j'prône l'imprudence
Paris broie tes rêves
Si t'arrives roi et reste seul alors
Le trône n'a plus d'sens
Car l'école et les collègues
Les grosses folles et les bonnes
Les Gomm-Cogne et les volets de
Drogues fortes qui te cognent
Les faux potes qui te
Promettent bien trop d'choses, qui te volent
Qui proposent d'être au top
Croquent et nient qu'ils te connaissent
Tout consiste dans les placements
Donc nous on subsiste en étant absents
Peu d'utopistes, beaucoup d'autistes
Fixés sur les mêmes topics
Et peu d'dépassement
Pures, On prône le changement
Mais les gens sont durs sur les murs
Au crom' pas d'Mercurochrome
Besoin d'pansements d'un lancement
Mais on n'a pas d'base
De plus, y a plus d'place
Et peu d'enlacements
Dans cette masse jamais j'ressens
Mais j'me d'mande à qui j'ressemble
Honnêtement sur la piste c'est la crise
Ca m'rend triste comme cette pluie d'décembre
Plus j'descends
J'glisse et fais des prises de risque
J'augmente comme le prix d'l'essence
Tout est vide de sens
J'te la coupe comme Jacques Dessange
Quand on allume la mèche
On finit dans une flaque de sang
Donc j'me braque tout l'temps
J'remarque plus c'qu'il y a d'touchant
La vie devrait être belle
Vu qu'elle est courte
Comme un soleil couchant et pas
Comme celle d'où j'chante
J'crois qu'on est perdu
J'crois qu'on n'a jamais été là
Tu vois pas comme on s'entretue
Et on n'va pas s'arrêter là
Y a peu d'nuances à croire qu'on ne fait que
Paumés entre bien et mal
Du mal à bien s't'enir en gros l'errance
Chaque jour on gagne en force
Ce qu'on perd en tolérance
On sert des causes étranges
On dérange comme un XXX placés sur le té-cô
Nos rêves sont jetés comme un mégot
Méassane si la vie est une peinture
Sache que cette art m'atterre
Qu'est ce t'attend que j'ai pas d'balles j'ai
Dû poser mon arme à terre
Mec c'est pas d'bol
Rêvant des bons cotés mais
Boycottés réalisant que
Les poings fusaient comme des pattes folles
Fallait pas d'failles certains m'disaient
Pas d'filles pas d'vrilles
Mais si fallait vraiment pas
D'vie j'étais pas d'taille
J'avais le choix de rester bon
Ou de devenir accro, ladre
Ce fut bref voyant les
Coups remplacer les accolades
Je sais c'est gore
C'était à nous de cesser or
Le vice est d'or et on
A préféré user ses normes
Ca c'est énorme man
Plus solitaire que solidaire et on a
Tous préféré croire que c'était normal
J'avoue avoir été ému par plein
De gens de pleins d'sens
Ca m'a touché j'ai gagné des
Rires mais perdu plein d'sang
Avec de nombreuses doses de joie et
De douleur que tu mêles
La vie est rayonnante
Comme cette lumière au bout du tunnel
Nekfeu rien ne me retient sur la Terre
Ce soir à part l'espoir d'apercevoir
La fine membrane qui m'entrave XXX il
Faut qu'j' perce le voile
Le rap me rend distrait j'en ai
Perdu le goût des études
À force d'enregistrer on se rend
Compte qu'écouter c'est dur et j'suis seul
Seul avec ma haine et mes pensées malsaines
Blême une pièce de théâtre vaine où j'cache
Ma peine quand c'est ma scène
Une existence anesthésiée par le
Poids de l'habitude
Parle moi de la vie dure
D'mes textes qui tant d'années s'taisaient
Que je renais sans fin et quitte ce
Morne automne dans ce relais sans fin
Je veux rouler sans freins
Enfin j'évite le monotone
Et j'prône l'imprudence
Paris broie tes rêves
Si t'arrives roi et reste seul alors
Le trône n'a plus d'sens
Car l'école et les collègues
Les grosses folles et les bonnes
Les Gomm-Cogne et les volets de
Drogues fortes qui te cognent
Les faux potes qui te
Promettent bien trop d'choses, qui te volent
Qui proposent d'être au top
Croquent et nient qu'ils te connaissent