Phasm, Roméo Elvis - Souvent paroles de (lyrics)
[Phasm, Roméo Elvis - Souvent paroles de lyrics]
Souvent mes acolytes sont alcooliques
Et souvent leurs beats de
Pacotille sentent la colique
Tout l’temps défoncé, souvent tout blanc
Pourtant on ne sait faire que
Du boucan et sombrer
Pas la vie escomptée, non
Souvent j’me demande qu’est-ce qu’on fait?
Est-ce qu’on le sait? J’ai pas d’avis
Hé Cannabis, t’es souvent là quand il faut
Que mes gars s’activent
Et souvent, ça les paralyse, nan
Ce monde, marre d’y vivre, trop souvent
Il est comme le Martini, trop saoulant
Souvent, j’m’imagine un XXX
Ça m’arrive car la vie citadine
Ça m’attriste avant
J’étais souvent roulant sous le vent
Sous le vent mes roues, en croquant doucement
Tout ce temps perdu, il faut que tu percutes
L’illicite nous perturbe
Demande à Kiki qui l’a souvent perçu
Souvent, souvent
Souvent, j’rime, souvent j’déprime
Souvent j’glande, tout dans l’excès
Souvent, souvent
Souvent j’fume, souvent j’rêve de thunes
Souvent j’mens pourtant j’reste vrai
Souvent, je perds mes affaires dans
Les transports en commun
Encore un verre et comme un connard
J’accuse le copain
Encouragé à faire les choses proprement
Comment dire? J’ai comme
Un cousin dégueulasse
Qui remet tout à demain
Le beat me motive mais devant
La feuille je bute bêtement
J’ai plus de traitement pour
Soigner toute ma tristesse
Mais Johnny vit la vie d’rêve
Une routine plaisante
Des outils blessant pour opérer
Sur des poupées vaudou
Des phobies stressantes
Des drôles d’ours occupant mes cauchemars
Et mes journées quand je
Nage en eaux troubles
Souvent je reste calme avec Phasm
J’aime rimer même grillé par la Red Label
Laisse pas les mecs parler
S’ils ne connaissent Bruxelles
J’ai les plus mixtapes et des maxi biceps
Grosse voix sur une fine brindille
Tu vois que je suis branché comme individu
Quand je bosse tard, je scintille
Et souvent leurs beats de
Pacotille sentent la colique
Tout l’temps défoncé, souvent tout blanc
Pourtant on ne sait faire que
Du boucan et sombrer
Pas la vie escomptée, non
Souvent j’me demande qu’est-ce qu’on fait?
Est-ce qu’on le sait? J’ai pas d’avis
Hé Cannabis, t’es souvent là quand il faut
Que mes gars s’activent
Et souvent, ça les paralyse, nan
Ce monde, marre d’y vivre, trop souvent
Il est comme le Martini, trop saoulant
Souvent, j’m’imagine un XXX
Ça m’arrive car la vie citadine
Ça m’attriste avant
J’étais souvent roulant sous le vent
Sous le vent mes roues, en croquant doucement
Tout ce temps perdu, il faut que tu percutes
L’illicite nous perturbe
Demande à Kiki qui l’a souvent perçu
Souvent, souvent
Souvent, j’rime, souvent j’déprime
Souvent j’glande, tout dans l’excès
Souvent, souvent
Souvent j’fume, souvent j’rêve de thunes
Souvent j’mens pourtant j’reste vrai
Souvent, je perds mes affaires dans
Les transports en commun
Encore un verre et comme un connard
J’accuse le copain
Encouragé à faire les choses proprement
Comment dire? J’ai comme
Un cousin dégueulasse
Qui remet tout à demain
Le beat me motive mais devant
La feuille je bute bêtement
J’ai plus de traitement pour
Soigner toute ma tristesse
Mais Johnny vit la vie d’rêve
Une routine plaisante
Des outils blessant pour opérer
Sur des poupées vaudou
Des phobies stressantes
Des drôles d’ours occupant mes cauchemars
Et mes journées quand je
Nage en eaux troubles
Souvent je reste calme avec Phasm
J’aime rimer même grillé par la Red Label
Laisse pas les mecs parler
S’ils ne connaissent Bruxelles
J’ai les plus mixtapes et des maxi biceps
Grosse voix sur une fine brindille
Tu vois que je suis branché comme individu
Quand je bosse tard, je scintille